J’ai testé… Mischief !

Rubrique « j’ai testé » : Mischief ! Un logiciel de dessin vectoriel, avec un rendu peinture numérique.

Au passage, merci Zwickee pour la découverte !

J’avoue avoir eu des réticences au début et n’ai vraiment adopté le logiciel que récemment. La dernière mise à jour de janvier était prometteuse. Alors voici mes petits retours. D’emblée, c’est une pure révolution et parallèlement, il ne me convient qu’à demie.

Les atouts de Mischief : innovation, légèreté, simplicité, communauté

Côté logiciel, une superbe innovation :

• Zoom infini dans le dessin sans pixels et sans « pas » (pas d’espace insécable même en zoomant à fond, contrairement à ce que je connais du dessin vectoriel, type Illustrator)

• Les épingles ou « pins » pour se repérer dans le dessin, qui remplacent efficacement l’aperçu – aperçu dont je ne me sers pas ailleurs, je préfère zoomer / dézoomer et me déplacer dans le canevas en permanence

• L’export automatisé des épingles, c’est-à-dire des vues sélectionnées dans le canevas – idéal pour les step-by-step de plusieurs croquis simultanés

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Trèfle sur un calque séparé : agrandissement sans pixelisation

Côté dessin :

• L’adoption des « codes » attendus : certains raccourcis communs avec d’autres logiciels, présence du nuancier en carré + cercle, nommage de calques, zoom / dézoom, etc.

• L’export en extension .psd avec calques séparés – un format largement répandu maintenant en 2D (en mode pixel cette fois-ci, pas vecto)

• Le pack de brosses par défaut, déjà excellent – un point auquel je suis particulièrement réceptive

• La facilité de personnalisation des brosses et leurs enregistrement – ce qui est dommage, c’est la limitation à 6 brosses ; l’ajout d’une nouvelle efface forcément une ancienne.

Côté ressources, le poids-plume :

• La légèreté de l’application, son démarrage rapide – on a moins à craindre l’obsolescence du matériel et son manque de puissance

• Le poids miniature des fichiers sources comparés aux mastodontes du marché actuel – même si avec le temps, on a tous boosté nos clés usb et trouvé des espaces serveurs pour le partage de fichiers

• Son interface simple, prise en main rapide : peu d’outils, l’essentiel… Pour croquer*, en tout cas.

Côté communauté et tutoriels :

• La qualité de la newsletter et des informations sur le site

• Le soutien technique avec les mises à jour et la prise en compte des demandes

• Les vidéos sorties peu de temps après le lancement du site et l’ambiance générale

• Le prix** à mon avis bien positionné pour ce type de logiciel : $30 soient 26,80€ TVA incluse

Les points positifs sont légions – et non je ne me livre pas à un placement de produit ^-^ – et honnêtement, trois ans après sa sortie, Mischief continue de détonner. En tout cas, il continue de me surprendre ! En revanche, de ce que j’ai pu tester avec ce logiciel, il ne correspond actuellement pas à ma façon de faire.

Un premier gribouillis coloré :

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Vous allez le voir, je me sers encore de cette bouille d’elfe pour la suite ^^

Les outils qui sont présents mais qui ne me servent que partiellement :

Le côté vectoriel

C’est super appréciable de ne pas être confronté aux pixels, c’est définitivement la grande force de Mischief, avec sa simplicité d’interface. Toutefois, j’y vois deux limites dans sa version actuelle :

Restriction de compatibilité : le dessin est zoomable à l’infini certes, mais non exportable vectoriellement ;

Un mi-chemin bizarre : contrairement à Illustrator par exemple, on ne peut pas modifier une courbe tracée, il faut la repeindre.

Donc finalement, j’utilise Mischief comme n’importe quel logiciel de dessin numérique.

Un deuxième gribouillis coloré – je triche un peu :

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Même petite tête que pour le précédent visuel. Elfe inspirée de l’exercice « créer son avatar vectoriel » qu’on avait envisagé dans l’équipe Team Graph de Wazabi

L’opacité réglable

Pour palier à l’impossibilité d’avoir plusieurs fenêtres dans Mischief.

En effet, on ne peut ouvrir qu’un seul document à la fois, l’ouverture ou la création d’un nouveau entraînant la fermeture du fichier en cours. On ne peut pas travailler sur deux fenêtres différentes. Or on a parfois / souvent besoin de ressources en parallèle (des images de référence, des sources d’inspiration, des croquis préalables). Mischief contourne le problème en proposant de réduire l’espace de travail et / ou de le passer en transparence, laissant voir le bureau et les fenêtres ouvertes.

Aperçu avec fenêtre semi-ouverte :

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Aperçu avec fenêtre semi-opaque :

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Néanmoins, on ne peut pas faire de prélèvement pipette sur ces autres documents. De même, on ne peut ouvrir qu’un fichier source .art (pas de jpg, png, etc) ! Et par conséquent, on ne peut pas récupérer un dessin ou calque issus d’un autre fichier mischief.

Les outils qui me manquent pour vraiment me sentir à l’aise* :

1. Côté palette d’outil / sélections

• La sélection « à la main » d’une forme qu’on vient de tracer – pour le moment on peut uniquement sélectionner avec une forme rectangulaire, ce qui implique du gommage

• La transformation de cette même sélection en déformation libre – on peut seulement en faire une symétrie et une homothétie, et la rotation est …Rude

• Le remplissage d’une sélection – ou d’une forme – avec un outil comme le pot de peinture ou un dégradé (à défaut, il suffit de dézoomer à mort et remplir un petit carré par exemple)

• La sélection d’une masse à partir d’un calque (le fameux CTRL + clic sur un calque de référence) histoire de « rester dans les clous » lorsqu’on est sur un autre calque

• La possibilité d’allonger la palette des calques

2. Côté calques et mode de fusion

• La possibilité de grouper ses calques dans un dossier pour la déclinaison de variantes <=> au moins pour séparer les calques des différents croquis sur le canvas et les déplacer conjointement, au lieu de le faire un par un

• Disposer d’autres modes de fusion que le mode « normal » <=> je trouve souvent des dégradés de teintes de cette façon et ça m’aide à poser les valeurs

• La possibilité de verrouiller un calque, à peu près pour les mêmes raisons qu’avec la sélection.

3. Côté nuancier et automatismes

• Personnaliser ses raccourcis clavier <=> j’aime répartir les tâches entre main qui dessine et main sur le clavier

• Importer / exporter des palettes (swatches) avec Mischief

<=> A défaut de pouvoir ouvrir un jpg ou tout autre format et de jouer de la pipette !

Rien que pour ce petit avatar, j’ai dû créer mes couleurs une à une, en récupérant d’abord le code hexadécimal sous Photoshop, puis en le collant sous Mischief. Plutôt rébarbatif. Ceci dit, à part pour du web et du graphisme pur, je me sers peu des nuanciers (excepté avec Illustrator, très rigide le garçon) et habituellement je procède par touche de couleurs puis à la pipette.

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version finale avec Mischief – je poste ci-après la version vraiment finale, revue à mon goût en 2/2

*Je ne me vois pas actuellement l’utiliser pour une illustration complète sur un format défini. Comme base, Mischief est extra, mais il me manque les ajouts de textures et les proportions de format ; sauf en décalquant les formats et cases de page au préalable (cf. fenêtre semi-opaque et outil forme).

Évidemment, ces remarques sont basées sur ma propre utilisation. Ce sera certainement différent selon ce que vous recherchez. Ici, j’ai trouvé plus laborieux (pas difficile mais long) de peindre correctement avec Mischief, surtout le fondu de couleurs par exemple. En revanche, les absences de fonctions créent une contrainte intéressante à exploiter pour progresser (en tout cas, je le prends comme ça) et je pense conserver Mischief pour des croquis quotidiens, des recherches en vrac, du rough. En attendant de voir !

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Pour aller plus loin et vous faire votre propre opinion :

• le site : « made with Mischief »

• la page facebook Mischief

• un article explicatif d’Helen Zhang

**Le prix a même baissé au moment où j’écris ses lignes, il est actuellement à $25,00.

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J’ai testé… Une cintiq (2ème partie) !

Rubrique « j’ai testé » : une cintiq 13HD ! Et suite de la première partie : « Et tique tiq tic, la cintiq !« 

Merci San Lee pour cette acquisition !!!

Ça me change la vie ^__^

Aparté définition :

Les « habitués » connaissent bien la « cintiq » ; pour les autres, il s’agit d’une tablette pour dessiner en numérique, qui permet de dessiner directement sur l’écran, comme sur une toile. La première génération de tablettes était déjà une invention géniale en soi, à la base pour la calligraphie et ensuite pour dessiner. Mais œil et main se trouvaient séparés : la main trace sur la tablette, tandis que le tracé s’affiche à l’écran d’ordinateur. Sincèrement, il m’a fallu prendre le plis. Dans un sens, comme dans l’autre. J’expliquerai pourquoi.

Changer de tablette, pourquoi (pas) ?

1. L’ergonomie du poste de travail

D’abord pour une question de posture. En ce qui me concerne, l’effet a été quasi immédiat pour les douleurs de thorax. Par contre, je ne peux plus dessiner en tailleur ! La position était certes parfaite pour dessiner avec une tablette à plat – pas pour faire de la bureautique ceci dit ; eh bien je ne peux plus, sous peine de blocage de lombaire (arrivé deux fois, j’ai compris maintenant).

2. Voir ce qu’on fait – ou pas

Lors du test avec Evhell, je m’étais doutée que « voir » son encrage au fur et à mesure permettait d’être un peu plus précis et donc plus rapide. C’est effectivement mon cas !

Même s’il m’arrive de repasser l’image sur mon écran d’ordinateur, parce que j’ai pris l’habitude de ne pas voir ma main, justement… Sur la cintiq, elle cache l’écran XD

Un premier test* en couleur, issu de l’expérimentation made with Mischief

…Et d’une palette de couleurs utilisée pour un projet d’avatar :

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Bizarrement inspirée par l’expérience tactile de la tablette : j’adore le côté tout doux et presque glissant du revêtement !

J’utilise énormément le clavier pendant que je dessine. Une main sur le stylet, l’autre dédiée aux raccourcis. Ça va tellement plus vite ! Pour le moment, faute de place, je tourne le clavier autour de la tablette et ça me frustre un peu. J’ai bien pensé à paramétrer les boutons latéraux ; mais j’utilise beaucoup de raccourcis, plus que ce que propose la cintiq. Par ailleurs, j’avais déjà paramétré ceux de l’intuos 3 et ne m’en suis presque pas servi.

3. Le sacro-saint calibrage, un argument de poids !

A voir ces dessins-là maintenant, ça fait bizarre : mon écran « de l’époque » (et que j’ai toujours après 9 ans de bons et loyaux services) n’était pas calibré. Ce qui m’a valu de très mauvaises surprises sur les premiers prints >.< La cintiq est a priori bien calibrée de base, donc je ne devrai plus rencontrer de soucis à ce niveau ^__^ Et à première vue, l’éclairage est modéré et le gamma peu élevé, déjà très appréciable pour les yeux. ^o^

En conclusion, que du bonheur, même s’il me reste mes marques à trouver !

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Tablette testée avec Photoshop, Manga Studio et Mischief.

*Dessin posté : réalisation avec Mischief et finition avec Photoshop. Je parle déjà plus haut du « test Mischief ». Ici, je revisite les couleurs de mon elfe en automne qui m’a servi d’avatar sur les réseaux en 2009.

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J’ai testé… Mischief avec une cintiq !

Rubrique « j’ai testé » : Mischief avec une cintiq (13HD) !

Je ne m’attendais pas à retrouver ce logiciel, mais une fois le nez collé sur une surface plus petite que mon écran d’ordinateur… Les palettes de Photoshop et Manga Studio sont soudainement devenues envahissantes sur la 13HD. Pour retrouver un peu d’air, et faire connaissance avec le nouveau matériel, Mischief s’est naturellement présenté comme le prétendant idéal. D’autant qu’avec son zoom infini, sans pixel, gribouiller dessus se révèle franchement confortable !

Un premier rough en noir et blanc :

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Elfe au trèfle, mix entre une coiffe bretonne et un trèfle celtique ~ sorte de knot

Mischief sur un écran 13 pouces, ça change carrément de la version ordinateur : l’espace est « moins vide » tandis que la surface dédiée nuance la présence des bords de la cintiq. Curieusement, l’absence de certains outils (par rapport à d’autres logiciels) se fait moins sentir puisqu’on clique spontanément un peu partout.

Enfin j’en suis pas rendue à me passer de mes raccourcis clavier pour autant ^.~

J’avoue que je me sens au ralenti d’avoir autant changé de choses d’un coup. Heureusement, c’est de l’expérimentation personnelle. Après quelques jours à apprivoiser l’ensemble, je pense poster des tests plus approfondis dudit Mischief et du changement de tablette.

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Entrées, plat principal et dessert…

… En base de données. A table !

Histoire de finir la migration de mes mises à jour, je déjeune en tête-à-tête avec ma base de données. Au menu : réinsérer des entrées dans une table, liée à une autre table. En entrée donc ce midi, jouer au jeu des différences entre les deux tables. Laquelle sera la plus ensoleillée, éloignée de la porte de service ?

Plat de résistance : les Id de posts ont changé car certains projets existent en local et pas en ligne. Donc pas de requête en insertion groupée car les relations seraient faussées. Au dessert, on l’espère : que tout soit bien relié au bon article posté, à la bonne date !

La cerise sur le gâteau.

Ou les joies de la gestion de site web ^^° fait maison.

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Oui ce menu est accompagné de métaphores filées XD

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1er mai, muguet et coccinelle

Trames numériques toujours et une pincée de couleur pour ce 1er mai !

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Brin de muguet, clochettes et coccinelle, trames numériques

Pour les feuilles du muguet et les clochettes, j’en ai profité pour expérimenter la création de trames… Personnelles, avec une linéature précise cette fois. Bien, c’est rudement pratique ! Les trames conçues de cette façon-là se superposent sans problème. Or à force de brasser différentes sources, on finit par rencontrer quelques complications pour la pose des ombres.

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Zoom sur ces trames à petits points (sources externes) : différence entre la trame des feuilles, des clochettes et du fond. Les ombres sur les feuilles m’ont finalement amenée à créer des trames identiques pour poser les valeurs.

Alors j’en profite pour faire un peu de pub au fanzine No-Xice ; c’est sur ce tutoriel-ci que je me suis basée : fabriquer ses trames numériques.

Amateur de trames, faites-y un petit tour, ça vaut vraiment le coup. Ne serait-ce que pour tramer vos décors en 2/2 ^o^

Edit pour un tutoriel sur le dessin de muguet : rdv sur Tutoriel de dessin au 1er mai : muguet croqué, corolle esquissée !

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Plume G et encrage net – part.2

Ou le plaisir de retrouver un noir à pointe fine :

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Le plein de noir et mille reflets ! Sujet : « tresses chinoises ».

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Un traitement plus léger pour des mèches envolées – sujet : « trames d’hiver ».

Une brosse par défaut fournie par Manga Studio ; toujours des bugs en utilisant ce logiciel, malheureusement, mais il faut reconnaître qu’il est prêt à l’emploi pour ce genre d’exercice !

Faire ce genre de choses me ramène des années en arrière ^^

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Plume G et encrage net – part.1

Suite à quelques expérimentations d’encrage traditionnel et numérique

… Projets de bannières pour les tutoriels de trames numériques en dessin manga !

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Bannière du tuto #05 sur la pose de trames numériques proprement dites.

Issue de l’illustration « Tresses Chinoises » en noir et blanc, plein de noir à l’encre et trames digitale – un vrai mix, entre crayonné et encrage traditionnel, puis pose de valeurs et de trames par ordinateur.

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Bannière du tuto #06 sur la pose de textiles en trames numériques, avec un petit apparté sur la peau.

Issue de recherches pour du charadesign orienté shojo manga – chibi manga – crayonné, encrage et valeurs en peinture numérique. Et l’un de mes tous premiers tests – voire le premier – d’encrage avec Manga Studio aka Clip Studio Paint.

Bonus histoire de vous donner encore plus envie :

animation speedpainting
animation speedpainting pour le couple de jeunes filles chibi manga

A très bientôt pour les nouveaux cours en ligne !

Je précise qu’ils ne seront pas données sur ce site comme les fois précédentes mais sur le site de No-Xice. Alors, partants ?

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Trames printanières, tutoriels no-xiciens

En ce début d’avril, je renoue avec un exercice qui a pourtant bien animé ce site : les tutoriels ! C’est une idée de San Lee qui m’a incitée à m’y remettre. Le prochain cours se tient donc sur le site du fanzine No-Xice.

Il s’agit d’une première étape pour cette illustration, qui servira de bases pour plusieurs cours relatifs aux trames numériques :

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Un dessin encré* au bic « sur un coin de table » en 2010 et qui se retrouve finalement tramé en 2016 ^^

Pourquoi parler de trames à l’ère du numérique ? Après tout, la trame n’est pas franchement vouée à être publiée en ligne, les petits points sont en effet destinés à l’impression papier :

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Zoom sur un détail floral : vue à l’échelle, les points piquent les yeux !

Et c’est précisément ce qui donne un caractère « chaud » à la matière, moins « froid » en tout cas (moins parfait) surtout avec le granulé du papier tradi juste dessous :

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Ici le dessin est rapetissé et la trame moire ; c’est une des choses que j’expliquerai !

Pour conclure, mon premier tutoriel no-xicien portera sur la pose de trame en mode masque ; il fait directement référence à ce tutoriel-ci, disponible dans la section tutoriel de ce site. Mais attention ! Le tuto datait de 2011 et avait été réalisé avec Photoshop CS2… A la relecture, je n’ai pas pu reproduire un comportement à l’identique (en particulier la transition – masque – sélection – couche).

Le tutoriel sur No-Xice est donc le plus à jour des deux, enfin avec mes moyens c’est-à-dire avec un photoshop CS5. Bonne lecture et bonne pratique ! A vous !

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*Le line est disponible ici.

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Ménage de printemps et nouveaux tutoriels

« On enseigne ce qu’on a envie d’apprendre »

La première fois que j’ai entendu cette assertion, j’ai tiqué ; pour moi, on enseigne ce qu’on maîtrise, la maîtrise impliquant de ne plus avoir (autant) à apprendre. Or les deux ne s’excluent pas; continuer d’apprendre est même essentiel pour transmettre ! Finalement, je pense qu’il y a beaucoup de vrai là-dedans.

Ici, plusieurs tutoriels ont vu leurs images disparaître lors des migrations et updates techniques de site. Et tous datent d’au moins 4 à 5 ans. L’occasion de se pencher un peu plus sur cette partie, voire d’y faire du ménage ou rafraîchir le contenu, tout simplement.

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Mais après réflexion, cette section ne bougera pas avant la prochaine version complète d’Yrial in Sight, qui représente déjà une certaine quantité de travail.

Alors en parallèle, je continue la rédaction de cours… A destination du fanzine No-Xice. Dans les bacs : tutoriels sur la pose et la découpe de trames numériques. L’occasion de réviser le mode crayon, les masques simples, les masques de fusion sur un calque ou un dossier, la superposition de trames en décalé, etc. Tout un programme !

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Pour le moment, j’en suis à 3-4 cours, écrits et illustrés. Je newserai très bientôt à ce sujet, suivant la parution officielle chez No-Xice.

Bon week-end aux trameurs de tous poils !

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Notes sur les liens partenaires

Lors d’une des mises à jour du site, les liens partenaires ont changé : il y en a beaucoup moins ! Le tri était nécessaire, certains dessineux ayant perdu leur blog… J’espère qu’ils renaîtront de leurs cendres ^-^

Il m’arrive de me poser encore la question : ne devrais-je pas tenir un blog au sein d’une communauté ? C’était le cas du premier Lumière Elfique – blog rattaché à Yrial in Sight depuis 2009. Ce qui explique aussi la pauvreté des articles rapatriés entre 2006 et 2009 ; plutôt que de me concentrer sur du copier-coller du passé, j’ai misé sur de nouveaux posts et de nouvelles images.

Les plateformes gratuites avec thème intégré sont légions et il est désormais facile de présenter ses travaux, de partager dessus, dessous (je plaisante) et à côté avec d’autres internautes. Et de faire ça proprement, efficacement. Finalement, est-ce que nous sommes si nombreux que ça à conserver, entretenir et mettre à jour des sites « extérieurs » à facebook & co ? C’est du boulot mine de rien et pas du dessin.

Personnellement, je reste attachée à Yrial in Sight ; je possède mes données, je les extraie quand je veux. Et si j’ai envie ou besoin de changer quelque chose, pour des questions de mises en page par exemple, je peux. Ici j’ai vraiment l’impression de pouvoir poser mon univers, au premier coup d’œil. Alors oui, c’est du fait maison, avec toutes les lourdeurs que cela comporte parfois…

Avoir son propre site de dessin, c’est vieux jeu ?

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