Pour suivre les évolutions du blog et du site web, faits maison jusqu’à 2016 ! Anecdotes du back office, nouveautés sur les fonctionnalités, les gros changements comme l’abandon du BBcode ou l’intégration de jQuery, etc. A présent, Yrial in Sight a son blog intégré et tout est géré avec Wordpress : )
Ou comment l’oiseau est toujours là où devrait se trouver une croix.Au sens technique, pas au sens polémique ! Même si je taquine quelque peu en appelant « croix » le « X » du réseau éponyme.
En août 2023, suite à l’annonce du changement de nom pour le réseau social Twitter en X, j’ai changé mon url : twitter.com/yrialinsight.com est donc devenu x.com/yrialinsight.com et ce, alors qu’aucune icône n’était encore disponible. Pourtant, le nouveau logotype du réseau, un X majuscule, était déjà diffusé :
Afin d’adoucir la transition déjà polémique de l’époque, j’avais choisi un trait d’humour : Twitter… Devient X = Twi…X un parallèle volontaire avec la barre chocolatée et son historique de re-branding international. Bref.
À défaut d’avoir une icône / picto / logo disponible à ce moment-là, j’ai, pour l’occasion, refait cette icône dans mes couleurs ; la page contact d’Yrial in Sight est d’ailleurs toujours basée sur cette icône faite maison*.
Une initiative qui m’évite d’avoir un blanc comme aujourd’hui :
Alors que l’oiseau de Twitter, lui, est toujours disponible via le widget de JetPack pour WordPress :
Les aperçus écrans sont générés à partir de la console debug de Mozilla Firefox, un outil que j’apprécie toujours et qui permet, entre autres, de modifier temporairement le rendu de la page dans le navigateur, sans toucher aux fichiers sources.
Mon compte Yrial in Sight existe toujours sur X (ancien Twitter), malgré l’absence de l’icône idoine pour ce RS. Et la discrète présence de l’ancien oiseau ! À croire que même la maison mère a du mal à en faire son deuil. Je plaisante 😀
*J’ai d’ailleurs récemment observé que le X officiel se pare à présent d’un léger empâtement sur la barre descendante. Mon icône de contact serait donc à refaire. Peu importe, l’essentiel est que ça fonctionne, n’est-ce pas ? Bonne fin de congé si vous êtes en vacances et bonne reprise / bonne rentrée en avance !
Certaines années, comme en 2018, j’ai partagé chaque semaine, tous les dimanches, un contenu sur Yrial in Sight : revue sous forme d’articles, recherches en croquis, expérimentations en peinture traditionnelle ou numérique, illustrations terminées, études de la nature.
Début 2021, j’ai repris le rythme des années précédentes, à savoir une à deux publications par mois seulement, contre quatre à cinq pour certaines années. Histoire de davantage me concentrer sur la production plutôt que sur la communication et la diffusion. Trois raisons m’animent :
D’une part, la propension à la préparation des publications : j’investis à nouveau, un peu de temps sur les réseaux sociaux – or il y a des périodes où je ne travaille pas le dessin mais, où comme beaucoup, je potasse les modalités de présentation : je suis uniquement sur les phases d’écritures, de choix de mots-clés, de préparation de visuels aux bonnes tailles pour les différentes plateformes. Sans compter que j’essaie de partager des choses différentes d’un réseau à l’autre, que je tâche d’y être un minimum active en dehors de mon simple compte. Je panache également ma veille entre lesdits réseaux sociaux et mes habituelles recherches thématiques à partir des moteurs de recherches.
D’autre part, la frustration d’un planning inapproprié : un rythme trop élevé m’amène à souvent partager des croquis inachevés plutôt que des illustrations finies. Or à la fin de l’année, lorsque je procède au bilan créatif personnel, je réalise que j’aurais aimé avoir davantage de finalisations en stock – quitte à restreindre encore davantage mon choix de présentation. Finalement, je m’impose naturellement une cadence pour ce site presque équivalente à celui d’une mission, où effectivement, les croquis de recherches sont prépondérants et où les « belles images » en tant que produits finis se font plus rares. Poster moins souvent me permet de pousser certains croquis plus loin avant de les poster ici, tout simplement, sans viser la date butoir chaque dimanche ^o^
Enfin, l’équilibrage des activités : j’ai tellement privilégié Yrial in Sight et ces réseaux certaines années que j’en ai délaissé mes autres activités « MD » comme la photographie, pourtant complémentaire. Pour ce premier trimestre 2021, la réorganisation de mon temps libre semble équilibrer la donne et j’ai de nouveaux du temps pour la vie personnelle comme pour les gros morceaux, même s’ils ne sont pas partageables en public ^_^
Concrètement, le contenu textuel et imagé se densifie pour les articles d’Yrial, là où il se veut résumé pour les partages en RS. Un peu comme mes publications sur les rendus 3D, mes process en général et mes notes d’intention en particulier… Des articles qui ressemblent tantôt à de vrais tutoriels, tantôt à des galeries miniatures d’illustrations ^__^
Je pense durablement observer cet allègement de rythme. En parallèle, je conserve la publication des travaux en cours pour les réseaux sociaux, d’autant qu’ils servent surtout de flux RSS, souvent de teasing et parfois de sollicitations aux retours. Certain.e.s de mes collègues procèdent ainsi. Et vous, comment faites-vous ou qu’en pensez-vous ?
Depuis le 2 septembre 2018, je teste Gutenberg, le nouvel éditeur pour WordPress. Il m’a été proposé en août et je suis toujours partante pour tester quelques nouveautés. Donc régulièrement, je bascule du Classic Editor vers Gutenberg, pour voir. En soit, l’innovation est résolument sympathique, responsive, l’interface plus aérée / moins chargée que sur l’éditeur classique pour ne citer que quelques avantages à cette innovation.
Toutefois, je suis (là encore, régulièrement) contrainte de mettre en pause mon utilisation car certains manques s’avèrent bloquants :
L’impossibilité d’apporter la visionneuse de photos à une galerie créée – même passée en édition html, impossible d’insérer la balise class= »foobox »; qui appelle ma visionneuse (une lightbox / shadowbox du nom de Foobox vous l’avez compris) ;
Le redimensionnement automatique des images qui certes, est réversible, mais : au lieu de prendre l’image que j’ai conçue à la bonne taille, Gutenberg agrandit l’image qu’il a précédemment réduite. Résultat : elle est pixelisée !
La gestion des nouvelles et anciennes galeries se révèle problématique :
Impossible de sélectionner des images de la médiathèque pour créer une nouvelle galerie via Gutenberg – l’interface reste vide comme si je n’avais encore jamais uploadé de visuels ;
Impossible aussi de modifier une galerie anciennement créée avec l’éditeur classique autrement qu’à la main, en ajoutant les numéros d’ID directement dans le code source.
Or par définition, sur Yrial in Sight, MD drawing et MD studio pour ne parler que des projets persos, j’utilise les galeries et visionneuses, pour mes illustrations comme pour mes photographies. Donc Gutenberg a encore quelques progrès à faire s’il veut se faire adopter. J’imagine que ses concepteurs ont encore – beaucoup – de pain sur la planche pour ce projet, comme l’indiquait déjà cet article de mars 2018. Donc, patience et en attendant, je reviens au Classic Editor ^-^ Bon courage à toute l’équipe \^o^/
Article commencé le 15 septembre 2018 et mis à jour en fonction des observations.
EDIT janvier 2021 : le problème des images et des galeries persiste… Entre-temps, j’ai abandonné Foobox et c’est pas faute d’avoir régulièrement basculé de l’éditeur classique vers Gutenberg mais là c’est relou pour rester polie.
Suite à une réflexion* sur mes vieux travaux de modélisation 3D – les paysages à tendance fantastiques réalisés avec le logiciel Bryce début 2000 – j’ai opté pour une nouvelle présentation de mes rendus tridimensionnels.
J’avais déjà amorcé la tendance d’un découpage très graphique en 2008 qui me permettait de « raconter une histoire » ou de « situer un sujet » à partir de différents paysages. Début décembre, j’ai repris la méthode – un mix entre découpage en vitrail et planches d’inspiration ! Quelques exemples :
Recherches de composition, tests d’éléments et de texture avec Bryce 2 et Bryce 5
Mes expérimentations ont énormément vieilli ; les rassembler par thème / sujet / atmosphère me permet de leur apporter du sens et de les présenter de manière un peu plus dynamique, ce qui je l’espère, rends ces illustrations plus attrayantes pour vous ^-^
L’autre avantage de cette méthode : elle compense partiellement la basse définition du rendu Bitmap final – mon ordinateur de l’époque générait un 800 x 600px en 72 dpi, soit une basse définition… Je pouvais bien entendu changer le format mais le poids variait en conséquence ainsi le temps de rendu. Ceux d’entre-vous qui créent en 3D en savent quelque chose ^.~
Recherches de composition, tests d’éléments et de texture avec Bryce 2 et Bryce 5
*Depuis octobre dernier, en effet, j’étoffe le contenu illustré de mon compte dessinatrice sur Deviant Art ; j’étais absente de cette communauté depuis 2007 ou 2008 (10 ans en somme) ! Inktober 2018 s’est présenté comme l’occasion d’y revenir ^__^ J’en dirai davantage une autre fois et bref, en ce moment, c’est la galerie « 3D renderings » que j’y étoffe, en espérant toujours pouvoir m’y remettre sérieusement ! Même si ce n’est pas la priorité du moment… Et que je pâlis d’admiration quand je découvre ce qui est publié dans le même domaine à présent !
Pour en savoir plus, et bien que mes créations n’y rendent pas honneur : le site officiel de Bryce – version 7 au moment où j’écris ces lignes – et de son éditeur, Daz3D qui propose une suite de logiciels 3D gratuite.
Suite des évolutions avec le thème WordPress « Twenty Seventeen » : une bonne base !
Ça n’a l’air de rien, mais Twenty Seventeen est plutôt « brut de décoffrage » – voici un avant-après chartage du site sur mon article test :
L’ajout d’un bordereau rose sous le titre et le changement de typographie donne un peu plus de caractère à mon avis !
Il y a eu plusieurs adaptations au thème WordPress Twenty Seventeen : rajout des catégories, tags et possibilités de poster sur chaque article, dès la vue « par archive » et pas seulement sur sur la vue « par article » (retour d’expérience utilisateur).
Mieux vaut avoir des idées de mises en page pour l’enrichir en terme de couleurs, de typographies, d’items ! Et vous passez forcément par la case « charte graphique » puis « intégration en CSS ». Sans compter les widgets qui apportent les fonctionnalités requises (ceci est commun à n’importe quel site WordPress). Dans tous les cas, une lecture assidue de la feuille de style du thème parent s’impose.
Un design de retour aux sources
Ce changement de thème, assorti d’un grand nettoyage de contenu, m’a aussi permis de me rapprocher de mon intention initiale : douceur, onirisme, simplicité – ici, coins arrondis et conservation de l’esprit cahier.
Voici exemple de simplification avec les éléments clés de la charte d’origine, suivis de leur application sur la nouvelle pagination :
Simplification et occupation de l’espace
Enfin, j’ai orienté la visite pour une tablette ou un smartphone, avec la suppression de l’antique menu latéral – voici un aperçu de l’évolution :
Les liens sont communiqués dans la section commune à toutes pages d’Yrial – une widget area comme on dit ! Cette réorganisation spatiale m’a fait gagner de la place et j’ai séparé les icônes de réseaux sociaux de celles des autres sites web de mon réseau :
Il manque un de mes sites web, c’est normal car il concerne une activité en pause ^.~
Je vous fais grâce des points de détails du reste de la charte graphique et du scénario de visites. Je me fais plaisir en vous partageant ces histoires sur Yrial… Tout en gardant à l’esprit qu’il s’agit d’un blog de dessin et d’illustrations avant tout !
Et maintenant, dites-moi : que pensez-vous de cette nouvelle version d’Yrial in Sight ? J’ai hâte de savoir ^-^
Suite des évolutions avec le thème WordPress « Twenty Seventeen » : depuis août dernier, Yrial in Sight est prêt pour la rentrée 2018 ! Aujourd’hui ça se discute autour des adaptations graphiques et finalement, autour d’un thème déjà prêt, ou adapté, ou fait main.
Je ne vous le cache pas, un thème « fait maison » ou « fait main » – autrement dit concocté par vos soins, c’est long. Quoi que les professionnels du milieu, dédiés à la création de WordPress et / ou de thèmes WordPress, sont certainement bien mieux rodés à l’exercice que moi !
Si c’était si simple, nous serions une grande majorité à savoir coder et / ou prêt à investir les ressources nécessaires en termes de temps et de connaissance pour bâtir notre thème personnel. Preuve en est, le marché regorge de thèmes prêts-à-installer pour WordPress, en accès payant ou gratuit, proposés par de nombreuses compagnies… Et d’indépendants.
Un site fait maison ou un site Worpdress, qu’est-ce que ça implique ?
Pour faire court, un site fait maison vous demande diverses compétences ou domaines de veille – surtout si vous êtes autodidacte comme moi :
Pour l’existence du site : un hébergeur – serveur + l’achat d’un nom domaine + un outil de mise en ligne (comme FileZilla) ;
Pour l’aspect gestion de base de données – quelques requête en SQL et une petite balade régulière du côté de PHPmyAdmin pour les sauvegardes ;
Pour le code du site : php et javascript (il y en a d’autres maintenant)
Pour la mise en page du site : html, css… Et un logiciel de retouche d’images pour le web.
En comparaison, et pour faire simple, un site web WordPress assorti d’un thème tout prêt vous demande : de cliquer sur des boutons… A condition de capitaliser sur des connaissances antérieures. Car finalement, que ce soit pour le déploiement de WordPress ou le paramétrage des accessoires, la patience supplée rarement au manque de pratique. Et je dois reconnaître farfouiller le CSS pour la mise en page, d’autant que, comme je ne l’ai pas écrit en premier lieu, il me faut d’abord « rentrer dans la tête » de l’intégrateur auteur d’origine.
Voilà pour une grossière introduction en la matière ; à mon avis, tout site exige de faire de la veille et de demander conseil. Et, surtout, d’avoir une idée claire de ce que l’on veut en amont tout en restant souple : autant sur un site fait maison, vous pouvez galérez mais vous maîtrisez vos fonctionnalités de bout en bout, autant, sur un CMS comme WordPress, il faut accepter de déléguer certaines choses.
Ici par exemple, en terme de présentation graphique et de scénario de visite, mon « idée claire » repose sur un univers et un accès direct à l’information. J’ai toujours souhaité conserver une certaine ambiance, donc des éléments comme l’image de fond sont restés présents avant de valoriser mon identité ; voici une rétrospective sur un même article de blog :
Vu de loin, le visiteur sent assez peu le changement entre Nisarg et Twenty Seventeen, les thèmes WordPress utilisés pour les deux derniers aperçus. C’est précisément l’objectif, une transition tout en souplesse en apparence.
Yrial in Sight, bac-à-sable en tout !
En 12 ans de site personnel, j’ai testé le site fait maison, le site avec thème tout prêt (1), et le site avec adaptation d’un thème (2). Avant ce site web, j’avais contribué à d’autres créations en agence, via un logiciel de type « What I See Is What I Get » comme DreamWeaver, mais je suis rapidement retournée à mon blocnote.
Je vous résume ici le cheminement d’un « Yrial @Saisei fait maison » vers un « Yrial collaboratif » à un « Yrial propulsé par WordPress » et toujours en collaboration.
Le site fait main, c’est une occasion de concevoir, de produire et de faire vivre un projet personnel de A à Z ; on apprend, on se rend visible et c’est vraiment gratifiant. Avec le temps et ce qu’on voit des autres auteurs, l’envie de moderniser le site devient presque aussi grande que produire du contenu pour le site. En tout cas, c’est ce qui s’est passé pour moi. Jusqu’à ce que le temps manque cruellement, que les métiers s’étoffent et se complexifient – d’où la collaboration et la délégation, même pour Yrial in Sight.
Pour le thème WordPress fait maison, l’idée a été abandonnée assez vite compte-tenu de l’expertise nécessaire au fonctionnement de la plateforme WordPress proprement dite. Je travaille désormais en collaboration depuis plusieurs années et demander un thème complet reste énorme ! Le sujet « site web : évolutions et nouveautés ! » vous donne déjà un aperçu de ce que l’amélioration d’un site web avec blog implique.
Lorsqu’on choisi de déléguer la technique à un CMS, on peut davantage se concentrer sur le contenu et sa mise en valeur. Ces CMS représentent vraiment un outil de démocratisation d’accès, je pense ; là où, avant leur apparition, une sélection s’opérait inévitablement. En revanche, c’est une erreur de penser qu’ils affranchissent de la rigueur pour la création et la maintenance*.
Concernant le choix d’un thème WordPress, j’ai choisi à chaque fois au plus près de ce que j’avais en tête (je note et je dessine des idées de maquette que je compile ensuite puis je compare avec les thèmes du marché). Ensuite, même si le thème sélectionné exige peu d’adaptation dans sa structure, il en va souvent autrement pour l’adaptation graphique – ici un exemple avec des changements de typographies, d’interlignages, de couleurs, d’arrondis, et ajouts de menus personnalisés :
*Une petite remarque : même en déléguant à WordPress et à l’auteur d’un thème les parties les plus techniques, s’occuper de son site demande du temps, ce ne serait-ce que pour la maintenance – sauvegardes, mises à jour de sécurité, mises à jour de thème et donc d’adaptations graphiques suites auxdites mises à jour de thème… Dans tous les cas, il existe des solutions payantes.
C’est toujours le même triptyque : temps, argent, qualité (envie, connaissances). Si vous voulez de la qualité, vous y investissez du temps et / ou de l’argent ; et ainsi de suite !
A titre informatif :
mon thème WordPress 2016-2017 était Nisarg édité par Falguni – toujours maintenu par son créateur à l’heure où j’écris ses lignes ;
mon thème WordPress 2018 est Twenty Seventeen de WordPress, le petit dernier proposé en 2017 par WordPress, justement – et toujours maintenu actuellement.
Voilà pour cette « Évolution du site avec Twenty Seventeen part.4 » ! Et vous, avez-vous déjà tenté de créer un thème WordPress « fait maison » ou « adapté » ? Quelle en est votre expérience ?
Donc voilà ! Je connais ce réseau social depuis quasiment sa création – j’ai dû le découvrir entre 2011 et 2012 or il est né en 2010. A l’époque, Instagram était disponible sur Iphone – les téléphones mobiles d’Apple – et je n’en avais pas. Je n’en ai toujours pas, d’ailleurs ! Donc l’accès à ce réseau n’était pas envisageable. Ensuite, étant déjà présente ailleurs et occupée, je manquais de temps pour y alimenter dignement une galerie et un réseau nouveau.
Le désintéressement graduel et palpable de Twitter puis de Facebook, associé aux recommandations de mes amis et collègues m’ont finalement amenée à récemment créer un compte sur ledit Instagram :
Par chance, j’ai pu y prendre le même nom d’utilisateur @yrialinsight et le même pseudonyme Saisei • Yrial in Sight que sur les autres réseaux sociaux ^__^ Pour le moment, je tâche de ne pas y poster la même chose que sur Facebook et Twitter où je publie déjà des choses différentes ; aussi, si vous m’y suivez, vous ne devriez pas vous ennuyer pour cause de redondance ^.~
* « Partage de photos et de vidéos » néanmoins je n’ai pas réussi à y uploader mes vidéos comme je le fais sur Facebook ou Twitter – et encore moins à y poster mes animations « speedpainting » en gif… ^^ Vous, si ?
Suite des évolutions avec le thème WordPress « Twenty Seventeen » ! Aujourd’hui je vous parle graphisme au service du contenu et plus particulièrement, du parallaxe – ou comme ici, de l’effet parallaxe.
Tout d’abord, pourquoi avoir autant attendu le parallaxe alors que je le proposais en clientèle ? J’avoue que, comme je juge les blogs globalement obsolètes comparés au réseux sociaux, j’avais opté pour le moins d’actions possibles – le moins de clics donc – pour arriver à l’information.
L’autre raison aussi est le probable manque de référencement avec un site web organisé purement en parallaxe – comprendre : chaque lien du menu supérieur renvoie à une section de la page d’accueil et non pas à une page indépendante. Le scénario de visite s’en trouve facilité pour l’utilisateur (qui se contente de scroller) mais le maillage interne au site devient quasi nul, les liens entrants ne renvoient que vers une seule page (la page d’accueil), etc. Les raisons restent multiples.
Cela ne veut pas dire qu’il faut renoncer au parallaxe. Un client ou une cliente dont l’activité débute et se conclut en visu peut tout à fait se satisfaire d’une page vitrine, d’une organisation en one page. D’autant que cette présentation se révèle séduisante en terme d’approche. Pour Yrial in Sight, le défilement des sections en valorisant certaines illustrations favorise la présentation de mon univers :
Par ailleurs, j’ai certes opté pour une présentation en parallaxe mais le menu principal et le bas de page appellent des pages distinctes des sections. Les sections offrent chacune une introduction aux différentes pages et vous invitent à en découvrir d’avantage.
Notez qu’il est tout à fait possible de convertir le thème WordPress Twenty Seventeen en pure parallaxe ! Une fois vos sections crées, vous indiquez les liens de menu principal comme vous le faites avec les liens dans une page ; vous vous souvenez des ancres < a name= »monlien » > et des liens de type « monsite.com/mapage/#monlien » ? Ben voilà !
Voilà pour les nouveautés. Et vous, avez-vous déjà été tenté par du parallaxe ?
Suite des évolutions avec le thème WordPress « Twenty Seventeen » ! C’est chose faite même si c’est encore perfectible ^__^
Depuis le dernier article, j’ai remanié les étiquettes et les catégories :
Sur la version antérieure à 2016, l’insertion de sujets (catégories actuelles) et de tags (étiquettes actuelles) s’est faite progressivement et parfois avec des redondances. A l’origine, du fait de ma présence sur Deviant Art (en globish), le blog Lumière Elfique était en français – anglais et le site web Yrial in Sight en anglais :
D’où les sujets systématiquement indiqués en langue anglaise, tandis que les étiquettes fournissaient une traduction française – aujourd’hui, les catégories comme les étiquettes sont en français ;
D’où les termes anglais comme « digital art », « traditional art » ou « fan art » qui peuplaient encore récemment mon nuage de tags car je les avais complètement intégré à mon vocabulaire.
Ici, j’ai préféré repenser le scénario de visites : qu’est-ce que j’ai le plus envie de vous montrer en ce moment ? Il en résulte un tri magistral dans les sujets proposés – soient des regroupements conséquents dans les articles publiés. Et ce, autant pour les catégories « sujets » et les étiquettes « tags ».
J’ai aussi opté pour un séquençage clair des liens de navigation principaux : fini les menus latéraux ! Place à un grand espace pour les images et les textes – je suis actuellement sur les articles pour favoriser les liens en internes plus profond d’un projet à l’autre. Ensuite, du basique : un menu supérieur renforcé d’un bas de page avec les suggestions de visite.
J’espère que la navigation s’en ressent !
Voilà pour les nouvelles techniques. Je suis toute ouïe sur vous avez des retours à ce stade : )
Depuis l’apparition du thème WordPress « Twenty Seventeen » l’an dernier, je songeais fortement à l’adopter ! Surtout pour sa « home page ».
Yrial in Sight a ainsi changé de tête samedi dernier ! Rassurez-vous cette version est évolutive : il manque l’ambiance qui caractérise le blog et les pages du site depuis sa création. Même si on évolue avec le temps.
Pour le lancement, je me suis concentrée sur le contenu et plus particulièrement sur les textes de présentation et d’accompagnement !
Jusqu’alors j’ai adopté ici un ton humoristique pour me présenter, préférant déléguer aux images parodiques le soin de me présenter. L’exposition démarrée en juin m’a amenée à revoir ma biographie sous un autre angle, entre professionnelle et fanzineuse, entre sérieux et décontraction. Ce texte a été la première pierre pour l’évolution en 5.0 d’Yrial in Sight :
Vous disposez maintenant de réelles introductions aux différentes sections du site – actualités – blog & partages – galeries d’illustrations – infos + contact
Une vraie présentation me concernant avec l’idée directrice de ce site et du blog d’origine, plus un petit aperçu de mon parcours – et ce, même si je vous laisse pour le moment les mentions parodiques en parallèle ^.~
En plus de l’adaptation graphique (typographie, charte graphique, visuels d’habillage), je suis en train de repenser la navigation par mots-clés. J’envisage aussi une nouvelle modernisation de la page « info+contact », car, même si les informations communiquées sont toujours d’actualité, elles ne sont guère visitées. Enfin, je compte revoir les tailles des images insérées avant l’import sous WordPress, ainsi que les liens internes au blog et au site
Pour le moment, soyez indulgents car j’y consacre mon temps libre ! Et contrairement à ce que je préconise pour les clients, j’ai choisi de ne pas travailler sur une base + url à part, afin de m’économiser l’url rewriting indispensable aux liens en durs (et non relatifs) pratiqués par WordPress. Ce qui signifie que je travaille en direct.
La suite très prochainement. N’hésitez pas à me faire part de vos suggestions entre-temps ^__^
Et vous, utilisez-vous WordPress ? Si oui, quel thème ?