Suite à l’illustration de l’Elfe aux crocs saillants, voici les évolutions du dessin, depuis le croquis et en valeurs !
C’est parti pour un petit étape-par-étape commenté avec le croquis – une gentille fille en apparence, et un sourire presque mesquin :
La mise en valeurs – le visage est de face, il me fallait donc trouver un moyen d’y apporter de la profondeur :
Un premier méandre où j’ai beaucoup (trop ?) réduit la taille des canines inférieures ainsi que le nez :
L’illustration presque terminée en niveaux de gris – des proportions et une ambiance qui collent mieux :
Bizarrement, lors du croquis, j’ai repensé aux dessins de jeunes filles illustrées par le mangaka Masakazu Katsura (l’auteur de VIdeo Girl Aï, I’s, Zetman…) ainsi que les femmes plus combatives et décidées du dessinateur Tetsuo Hara (auteur de Ken le Survivant, Ken : Fist of the Blue Sky…). Ensuite je m’en suis détachée lors de la pose des ombres et lumières.
Je n’oublie pas pour autant mes expérimentations 3D mais après les congés d’été, je prends plaisir à terminer les projets démarrés avant ^.~
Dimanche prochain, rdv ici pour des concepts arts sur la colorisation de peaux sombres / ambrées / cuivrées et grises, toujours sur le sujet de l’elfe noire !
Après quelques brèves revues de rentrée évènementielle, retour au dessin et à l’illustration ! Alors, un portrait d’une jeune gobeline en contre-jour ? Manifestement pas une elfe née de l’imaginaire Tolkénien, et dans ce cas, peut-être une orque aux canines à la Warcraft ? Rien de tout cela, ou plutôt, une autre origine aux croisements de beaucoup d’influences, comme toujours ^.~
Cette illustration s’inscrit dans la lignée de mon Elfe noire aux percings. A l’origine, je souhaitais être au plus proche de la description faite par l’écrivain Aleksei Pekhov dans ses « Chroniques de Siala ». Or, rapidement, je me suis trouvée confrontée à des soucis d’esthétique – comme si rendre la mâchoire proéminente m’éloignait trop de mes « standards de beauté » ou en tout cas, de ma zone de confort en matière de croquis féminin. Comme si je devais me cantonner à des courbes graciles et un air candide ou mutin ! Voici donc un premier compromis qui conserve une part de fraîcheur, de mystère – tout du moins je l’espère – et de fantastique. Ici je me suis contentée d’agrandir légèrement la bouche et de faire gentiment saillir les canines inférieures : la lèvre inférieure se trouve légèrement boursoufflée par lesdites canines bien saillantes et les ombre et lumière sont plus marquées sous la lèvre inférieure du fait du volume occupés par les crocs en question.
Inspirations :
• la trilogie « Les chroniques de Siala » d’Aleksei Pekhov,
• les canines de chat, les prothèses inventées par les humains,
• les orques de Warcraft « The biginning » même s’il subsiste un dimorphisme sexuel important
• le visage de l’actrice Viola Davis pour son côté mutin
• les oreilles des elfes de la trilogie du « Seigneur des Anneaux » adaptée au cinéma
• les cheveux gris à la mode, les tenues médiévales…
Et comme la dernière fois avec la dite Elfe aux percings, un petit piercing labial, en Spider Bites inversé cette fois-ci ^.~
Finalement, ce dessin a quelque chose de contemporain (la coiffure probablement). Dimanche prochain, rdv pour une explication du processus avec le traditionnel étape-par-étape !
Du 12 au 22 septembre, a lieu la Nantes Digital Week. Un festival ouvert à tous sur les nouveautés numériques et leurs usages, du plus sérieux au plus ludique !
Cette année encore, le programme s’annonce riche de découvertes et d’expériences pour cette 6ème édition, coportée par Nantes Métropole et La Cité des Congrès de Nantes. Personnellement, j’essaie d’y faire un saut tous les ans et j’y ai toujours été enthousiasmée. L’occasion de s’informer des évolutions, d’apprécier ou questionner leur utilisation ; surtout, de partager ou de faire découvrir aux moins initiés – je me rappelle encore des premiers pas d’une amie en réalité virtuelle ^.~
Cette année, c’est l’exposition Geek Art et la conférence Pop Culture qui m’attire spécialement – alors que je suis d’habitude tentée par les questions autour de la robotique domotique et de son aide ludique et pratique, des données personnelles et des interactions humaines liées aux outils numériques, ou de l’impact social et environnemental des nouvelles technologies.
L’heure de la rentrée a donc sonné et certains d’entre vous ont le nez plongé dans leurs cahiers. A l’heure du numérique, me voici prônant le papier. A l’heure de la suractivité, me voilà valorisant le repos ! Avec le sourire et de grands crocs, place à Ryûk dans « Shinigami Glandouille » !
Certain.e.s le reconnaissent pour avoir lu le manga Death Note* ou pour avoir surfé sur ce blog entre janvier et août 2018. J’avais posté une prévisualisation partielle assortie de mon process ; l’imagine définitive étant alors réservée à la parution exclusive d’un artbook collectif – projet qui n’aura pas lieu donc je vous partage le dessin.
Personnellement j’ai toujours trouvé Ryuuku ambigu : tantôt il manifeste son soutien – du moment que la situation l’amuse – tantôt il prend ses distances. Parfois réfléchi et sage, parfois impulsif et infantile, il se trouve progressivement dépassé par le génie (ou la folie) de son compagnon humain. J’ai cherché à transmettre cette ambiguïté, entre un personnage presque hilare et une ambiance pesante et obscure, un peu comme celles des polars. Le personnage est présenté en pleine lumière parce qu’il agit franchement, tandis que les ombres sont aussi fortes en raison de la nature même de son œuvre. Ici il profite tranquillement mais ne devrait-il pas bosser dans son carnet ?
Pour celles et ceux qui aiment les gribouilles, j’avais aussi partagé des essais d’ambiances colorées pour cette illustration ; et si vous préférez les études de la nature, ce fanart avait également donné lieu à quelques études préliminaires d’os et de crânes !
Cette illustration fait suite à mon premier essai de clair-obscur sur une pomme, posté l’année dernière ; je suis partie de la même posture pour le shinigami – ne sachant que faire du bras, j’ai d’abord pensé à effectuer des tests sur le dessin plus simple avant de me lancer dans l’aventure d’une illustration plus complète.
* bande-dessinée japonaise écrite par Tsugumi Ōba et dessinée par Takeshi Obata. Existent aussi une série TV et une comédie musicale adaptées de l’œuvre.
C’est la rentrée pour Yrial in Sight. 1er dimanche de septembre. Une date chargée de neuf(s) – jeu de mots relativement peu inspiré en cette date du 2019 – 01 – 09 ! Absente en virtuel mais bien présente en réel, j’ai mis à profit cette période riche de sensations et de ressources.
Ces deux mois de déconnexion estivale sont passés à grande vitesse tant j’ai apprécié cet espace dégagé et disponible pour celles et ceux que je vois moins souvent. Certes, j’avais déjà entamé une sérieuse pause sur les réseaux dématérialisés depuis un moment. D’autant que ce n’est pas la première fois que je me déconnecte de tout ou partie desdits réseaux en ligne et autres plateformes numériques au profit de rencontres IRL. Et alors qu’en matière de visibilité, il est vivement conseillé de « ne pas s’arrêter de publier sur les réseaux sociaux », à titre personnel comme artistique, je peine à intégrer durablement cette danse endiablée. En tant qu’émettrice de contenu : d’une part, parce que soit je produis, soit je publie ; d’autre part, parce que je reste réticente à alimenter la pollution informationnelle et le gouffre énergétique inhérents à Internet. En tant que réceptrice de contenu (consommatrice donc) : soit je lis, soit je produis, et pour les mêmes raisons, en fait !
Bien. Comme pendant l’année, tout m’inspire et cet été a encore vu s’épaissir la liste d’envies et de projets illustrés – que j’espère ici partager ! L’occasion aussi de découvertes et de redécouvertes, comme la nuit des étoiles dans un observatoire, le caractère breton des toits de chaume et des hortensias sous la bruine, le Voyage à Nantes, la rencontre de la Frogged TV lors des Internationales de Dota2, les photographies de Carcassonne pour les projets 3D, l’écoute en directe d’une interview organisée par Women in Games, ou l’exploration en pleine Cité de l’Espace à Toulouse, sans oublier l’effervescence Montpellieraine… Et les multiples sessions ludiques comme les escape games numériques ou in situ, et le jeu de rôle bien entendu.
L’été n’est pas fini pour autant et bientôt débute la Nantes Digital Week dont je vous parlerai probablement.
Et vous, que vous apporte cet été, au présent comme pour la suite ?
Comme promis dans les derniers exercices sur objets – les empotés ! voici de nouvelles créations dominicales avec Bryce 5. Avec cette fois, des tables hautes, des tables basses et des fauteuils aux allures rétro. Toujours en modélisation et rendu 3D.
Je commence avec un jeu autour des formes coniques – avec un vase en cône vers le haut assorti d’une table basse en cône vers le bas :
Continuons sur cette effet de salle d’attente :
Entre les érables pourpres et les coquetiers cerise, vous pensez sûrement que j’aime bien le rouge. C’est vrai – ainsi que tous les dérivés autour, du violet à l’orange. Si j’emploie ici facilement du rouge et du blanc, c’est parce que ces matières ont le mieux résisté au temps dans Bryce 5, à mon avis.
Allez, c’est parti pour quelques variantes lumineuses :
Pour ces deux variations où la lampe sur pied est allumée, j’ai dû utiliser des spots de lumières – un au niveau de l’ampoule dans l’abat-jour et un autre pour éclairer les objets environnants.
Place maintenant à un ensemble de salon, meublé d’un téléviseur avec effets de glitch (parasites) à la Matrix :
Les deux fauteuils sont déjà une variations du fauteuil blanc et du siège rouge (que je partage en fin d’article). Les fauteuils comme le coussin au sol sont créés avec des metaballs*, des sortes sphères qui fusionnent entre elles comme un coulis de fruits rouges.
A présent, changeons d’ambiance ! Baissons la luminosité, allumons la télé et jouont avec les spots de lumière :
Je n’en suis pas encore à étudier la modification de texture ; en conséquence, rien n’évoque ici le cuir ou les textiles (velours, lin, coton), matières qui recouvrent habituellement fauteuils et canapés. Le bois m’apporte également peu de satisfaction en terme de rendu pour le moment – voici toutefois une vue épurée des différentes tables hautes, en bois, ou bois et métal, à l’origine imaginées pour les scènes et qui se sont finalement muées en table basse et en lampe :
Ces tables hautes, comme les tables basses des scènes 3D, sont construites à partir de cylindres : étirés, aplatis, bref déformés, puis imbriqués ou soustraits. Une exception toutefois, concernant le pied de la table 100% bois, qui lui, repose sur un cône doublé d’un cylindre.
A la suite, une série d’exemplaires de fauteuils, sièges et socles, qui imagent les combinaisons entre cylindres ou entre metaballs* :
Comme précisé plus haut, le fauteuil blanc et le siège rouge sont réalisés à partir de metaballs, contrairement aux socles à l’avant-plan (qui eux résultent d’une combinaison de cylindres et de sphères aplaties). Combiner metaballs et primitives (cylindre, sphère, cône, etc.) ne m’a pas été possible dans Bryce 5. Dommage. Peut-être que d’autres y sont arrivés par le passé !
*metaball, metaballs : dans Bryce, désignent des sphères capables de créer des liens voire de fusionner ensemble en fonction de leur proximité. Plus elles sont proches, plus leurs formes se combinent, et ce, en positif comme en négatif – la coque du fauteuil comme celle du siège est ainsi née d’une metaball négative insérée partiellement dans une metaball positive. Les formes obtenues ont un côte très liquide, je trouve !
Maintenant que je bidouille régulièrement les objets, je perçois quelques limites par rapport à ce que j’aimerais faire : je regrette en effet de ne pas pouvoir sculpter les primitives – ou les metaballs ; je ne peux que les combiner entre elles et les déformer sommairement, selon les trois axes.
Cet article est le dernier du mois de juin ! Je compte profiter de la période estivale pour moins partager sur ce site durant juillet – août et ainsi me consacrer à mes autres sites web, dont surtout MDstudio mon site de photos, ainsi qu’aux réseaux sociaux que j’ai peu voire pas maintenu depuis mi-avril dernier… Enfin mettre à jour, ou pas, histoire de diminuer mon empreinte écologique en consommation numérique ^.~
Bon dimanche et bel été à tous ! Je vous dis au plus tard à la rentrée de septembre, pour la suite ^__^
Rempotés, certainement ; empotés, peut-être… Parce que les arbustes égayent rapidement et simplement une scène un peu vide ! Ici, j’expérimente la création d’objets avec le logiciel de rendu 3D Bryce 5.
Exemple avec la scène présentée dans l’article environnement 3D et trajectoire de caméra avec Bryce – un bonsaï en pot à l’entrée de la pyramide ; il apparaît assez net comparé à l’arrière-plan, où l’on devine un second arbuste déjà pâli par la brume. Ce pot fleuri, surtout, apporte une touche de vie à cette image plutôt désolée :
J’en avais brièvement évoqué la possibilité : Bryce permet, dans une certaine mesure, la création d’objets – voir à ce sujet Bryce : aide d’ambiance pour les décors. Je me suis donc livrée à diverses créations de pots pour plantes, fleurs et arbustes :
Ces objets ont été formés à partir d’opérations booléennes, lorsqu’un objet négatif vient creuser, trouer, évider un objet positif. Il est possible de répéter plusieurs fois l’opération en question pour ouvrir différents espaces – c’est la même technique que pour la pyramide avec la porte et le toit ouverts, cf. la vidéo sur l’environnement 3D et trajectoire de caméra avec Bryce ^.^ C’est aussi de cette façon que j’ai créé le lac dans mes premiers Souvenirs avec Bryce, un logiciel 3D !
Présentés sur fond blanc, ces objets – et plantes – ne reçoivent ici aucune information colorée ; le résultat reste, par conséquent, assez brut. Mais en situation, l’ensemble commence à devenir intéressant. Voici une deuxième vue de la scène de la pyramide :
Le brouillard est d’autant plus présent que l’image partagée ici est une coupe de la vue globale au démarrage de la caméra – caméra située donc bien plus loin. Dernier exemple avec une vue de dessus cette fois :
J’espère pouvoir en tirer davantage. Il me reste encore beaucoup de choses à apprendre, comme l’application de matières et la modification de textures, de lumières locales en spots, de ciels, d’arbres – j’en joue déjà mais sans trop savoir ce que je fais ! Et la création de terrain reste délicate – cf. mes débuts avec le jeu de terrains bleus dans Bryce. Aussi, en guise d’entraînement, j’ai sculpté du terrain pour chaque terreau de chaque pot ; on apprend en faisant, et on maîtrise, en répétant ^.~
A dimanche prochain pour la suite du programme avec de nouveaux objets ! Bonne fin de semaine, profitez bien <3
Zoom sur les terrains de Bryce avec la modification d’un terrain – un exercice de base, ici sans changer l’ambiance lumineuse.
Il s’agit d’une ébauche de paysage déjà rendue en 3D sous différents cieux dans l’article précédent Bryce, une aide à l’ambiance pour les décors. Les modifications ont essentiellement porté sur la masse rocheuse au centre de la vue :
L’idée : modeler cette chaîne de montagnes pour en faire émerger autre chose :
Normalement, on ne procède au rendu 3D qu’à la fin – mais je trouvais moins glamour de vous partager une vue « technique » dès le départ. Voici la vue en maillage sans le rendu de texture, avec la même vue de l’extérieur que sur la première image :
L’outil d’édition, de modification et de sculpture de Bryce :
Pour l’exemple, je travaille la roche au loin – ici en vue de dessus :
Je reviendrai ultérieurement sur cet outil – juste pour préciser qu’on ne peut sculpter que la vue de dessus et non les différentes faces comme dans Z-Brush par exemple. En revanche, la palette de droite « Outils » fournit des options palliatives, comme notamment :
Pour mémoire, je suis partie de cette unique montagne :
Et une petite variante qui combine les différents effets :
Comme vous le voyez, je reste pour le moment sur des exercices de paysages désertiques assez constants – comme la composition présentée dans Souvenirs avec Bryce, un logiciel 3D : environnement aride avec présence d’un plan d’eau isolé, roches érodées par des pluies manifestement disparues.
Où la réponse à mon précédent article est dans le titre ! Et où je vous parle un peu plus de ce logiciel de modélisation 3D, de rendu 3D et d’animation de caméra. Ici, j’utilise toujours Bryce 5.
Ici, ce qui m’intéresse dans un premier temps, c’est la capacité du logiciel à créer des ambiances colorées, nuageuses, brumeuses à souhait – des situations que je n’aurais pas forcément imaginées de prime abord :
Moyennant de jouer sur les multiples réglages du ciel, la composition évolue considérablement et le sentiment du spectateur également :
L’autre atout incontournable de Bryce réside dans la sculpture du terrains !
En conservant la même scène que présentée ci-dessus, j’ajoute et sculpte des bosses et des creux en second plan, tout en modifiant sensiblement les montagnes d’arrière-plan pour simuler un clocher ou toute construction « civilisée » dans ce monde de brute :
Et, là encore, si je manipule les outils relatifs à la brume et choisis une orientation différente pour le soleil – ou pour la lune – les caractéristiques des matières changent elles aussi :
Vous l’avez compris, je compte principalement utiliser Bryce comme logiciel de création de paysages – et éventuellement d’objets, de bâtiments, d’infrastructure (type chemin, pont…). Un nom d’ailleurs qui caractérise les compétences inhérentes à ce programme car il comporte de nombreuses textures et formes relatives à ses étendues arides et accidentées.
J’espère en sortir des approches plus variées en terme d’ambiances colorées et de prises de vue. A ce stade, mes ébauches de terrains restent encore grossières, même si l’intention est déjà perceptible (et perfectible). Et compte-tenu de la sensible obsolescence des textures de Bryce 5, je compte over-painter en 2D après rendu 3D ^.~
Si vous souhaitez en savoir davantage sur ce logiciel :
Je continue mes expérimentations en 3D et mes retrouvailles avec Bryce 5. Comme promis dans le précédent article « Souvenirs avec Bryce, un logiciel 3D » voici la vidéo d’une animation de caméra avec ledit logiciel de rendu !
Petite précision : il s’agit d’un exercice de prise en main, issu du manuel utilisateur. Le but est donc de se familiariser rapidement et simplement, pas de créer d’emblée une œuvre d’art. Et, étant donné la relative vétusté de l’ensemble associé au vide certain de la scène filmée, une petite résolution suffit pour vous partager cet exercice :
Par ailleurs, cette scène avec Bryce 5 est nativement rendue en très basse définition. Les éléments n’ont pas été sculptés mais en partie réalisés avec des opérations booléennes – une combinaison d’objets négatifs et positifs – je reviendrai sur cette partie plus technique en temps voulu ^.~ J’ai trouvé la série d’exercices sur papier plutôt complète. Dommage que les tutoriels en ligne aient disparus.
Pour l’anecdote, Bryce sort des vidéos en .avi (et oui, ça fait longtemps qu’on n’a plus vu ce format) ; qu’importe, VLC Media Player effectue sans sourciller une conversion en H264 de l’avi au mp4, réduisant au passage le poids de mon fichier de 3,34Mo à 740Ko – poids amplement satisfaisant puisque je linke depuis mon serveur et non pas depuis une plateforme extérieure comme Youtube ou DailyMotion. Bien. En vue de la vidéo finale, je souhaitais également apporter un titre en début de séquence, grâce à l’éditeur vidéo « photos » de Microsoft Windows et… Surprise : à partir d’un fichier de 740Ko, cet éditeur me recrache un fichier de 3,08Mo ! J’ai donc préféré en rester à la version VLC, sans titre ni fondu ^^
C’est probablement l’une des rares occasions où je publierai une vidéo sur mes créations 3D, car mon intérêt ne réside pas dans la réalisation de petits films pour le moment. Aussi, à dimanche prochain, pour cette fois-ci vous parler de mon objectif premier avec Bryce ^-^