Lors d’évènements organisés par les Urban Sketchers de Nantes ! Ces « esquisseurs urbains » ou dessinateurs de l’espace urbain – comme rural – sont présents dans de nombreux pays du monde. Le but consiste en un dessin d’observation avec rendu immédiat de l’illustration. Pour ces œuvres, tous les formats sont autorisés, toutes les techniques sont possibles.
Pour ma part il y a eu de l’aquarelle la première fois puis de l’encre la seconde fois :
Marie-Aure s’était de son côté directement lancée à l’encre ! Elle a ainsi rapidement pu couvrir deux points de vue tandis que je restais cramponnée sur une seule aquarelle. La fois suivante, avec Solène, c’est l’encre qui a donc été à l’honneur – à raison d’une heure par croquis :
Ce bâtiment, les bains-douches, fait d’ailleurs l’objet d’une récente restauration IRL et il faut donc faire abstraction du grillage autour. Surtout, cet édifice m’inspire pour un build dans le jeu vidéo des Sims 4 – l’atelier des chantiers / l’atelier du bois lunaire, dans la partie « Nouveau Territoire », avec l’héroïne présentée dimanche dernier… Je reviendrai plus tard sur cette construction proprement dite 😉
En y repensant, j’avais déjà fait du croquis et de l’aquarelle en extérieur mais j’avoue en avoir moins soigné le rendu – je ne considérais mes esquisses que comme une étape de quelque chose d’autre. Et non le dessin fini.
Bref, exemple en image ! Où j’en profite pour partager un extrait de mon carnet de croquis quotidien… Qui s’improvise parfois en carnet de voyage, comme ici à Vannes en 2022 où mes dessins se concentrent sur des éléments d’architecture plutôt qu’une scène complète :
Revenir au grand vent et à la bruine me rappelle pourquoi je n’étais pas fan du croquis urbain de plein air et ce qui m’avait imperceptiblement éloignée du croquis de verdure et d’architecture en extérieur. Je me demande s’il y aurait un intérêt à sortir la liseuse pour dessiner ou même une tablette – en raison de la luminosité et de l’humidité.
Et vous, dessinez-vous en extérieur ? Ou préférez-vous le repérage photos ? D’ailleurs, faites-vous vous-même vos sources d’inspiration ou est-ce que vous piochez à partir du web dans les photographies des autres créateurs ? Personnellement j’essaie de faire les deux ! 😉
Blanc est un jeu vidéo indépendant, dessiné à la main, né de Casus Ludi et édité par Gearbox.En tant que joueuses et joueurs, vous êtes invité(e)s à collaborer au cours d’une tempête de neige. Une collaboration sonore et gestuelle entre un faon et un louveteau, entre explorateurs surtout ! Un jeu qui invite à la narration des joueurs eux-mêmes autant qu’à la contemplation.
Dans le jeu vidéo Blanc, vous incarnez des juvéniles : un faon et un louveteau. Du fait de la coopération sonore, gestuelle et non verbale, de vrais moments en cours de jeu sont là pour, justement, discuter ! Comme ci-après, au moment de franchir une arche lors d’une accalmie :
Itinérances et obstacles alternent avec la force du vent et la densité des flocons de neige – des puzzles que vous résoudrez normalement sans trop de difficulté. D’autant que la caméra vous guide régulièrement ! Certes, ne pas contrôler la caméra perturbe les habitudes mais invite au lâcher-prise. Surtout dans une progression linéaire où la caméra se centre invariablement sur le tableau à résoudre ou le prochain passage à emprunter.
Je recommande donc ce jeu tout public y compris – et probablement surtout – pour ceux qui vont lâcher prise et laisser la place au ressenti plutôt qu’à la performance. En solo mais surtout en duo*.
*Remarque sur le gameplay : joué sur PC (Windows) et contrôle avec deux manettes Xbox (pas au clavier) en coopération directe sur le même ordinateur (pas à distance donc aucune interruption de connexion). Dans cette configuration : aucun bug dans les contrôles, aucun problème au lancement du jeu ni au lancement de chapitre ou de sauvegarde 🙂
De ce que j’ai pu lire, le gameplay en solo apporte une gymnastique intéressante qui m’a rappelé A Tale of Two Sons mais sans certitude puisque j’ai joué à A Tale en solo et à Blanc en duo uniquement !
Blanc est reste une histoire positive basée sur l’entraide et suscitant l’empathie. La rudesse de la tempête contraste avec le côté vraiment mignon des protagonistes. Une balade rafraîchissante – c’est le cas de la dire, oui je sais – où la musique prend corps dans une ambiance graphique épurée, au style dessin traditionnel. On y devine même la graphite !
Gambadez dans la neige, humez la piste ou glissez sur les pentes. Bravez le blizzard et vous sentirez le retour du vent sur la progression de votre personnage. Aidez les animaux rencontrés au fil du périple – comme notamment des chevreaux – et ramenez chacun à sa tribut :
En matière de jeu vidéo, j’apprécie particulièrement les jeux en coopération et dans Blanc, elle s’opère naturellement. D’autant que j’y jouais le « support », le faon, qui aide régulièrement le louveteau, plus petit, à sauter les obstacles hauts. Donc ce rôle m’a bien convenu !
Mes notes datent de fin février – début mars (jeu acquis le 15 février lors de sa sortie sur PC). Il n’y avait encore aucun patch correctif sorti ; en conséquence, certaines remarques peuvent paraître obsolètes puisque le jeu a depuis connu des mises à jour ^__^
De nombreuses cartes parodiques chez No-Xice se produisent sur les « vieux » jeux vidéo. Sommes-nous de vieux croûtons isolés ? Eh bien non ! Ici on parle de retrogaming et rien qu’à Nantes, se tiennent des évènements le célébrant voire accélérant sa (re)découverte. Quitte à marier agréablement l’expérience de salon et d’exposition, de festival et de musée vidéoludique… Interactifs !
Article non exhaustif sur le rétrogaming associé au musée et aux expositions sans pour autant prendre la poussière, à destination du grand public toutes générations confondues… Et où je vais juste parler de ma toute petite expérience sur le sujet ^.~
Jusqu’à ces dernières années, en dehors d’une ou deux fidèles bornes dans les halls de cinéma ou de salles de bowling, il fallait surtout fréquenter des salons ponctuels déjà spécialisés. Et en dehors du milieu vidéoludique proprement dit, on attendait les conventions de japanimation pour explorer les salles de jeux créées pour l’occasion (y compris les jeux musicaux mais c’est une autre histoire). Et ce, grâce au bénévolat de conventions locales comme à Nantes Japanim Spirit, JapanStyle, Wazabi, ou plus imposantes dans de grandes villes comme Anim’Est à Nancy, ou Epita et la Japan Expo à Paris. Le jeu vidéo s’est révélé et est toujours une activité populaire et publique, dans les deux sens du terme.
Progressivement, j’ai l’impression, ce type d’évènement s’est enfin démocratisé notablement vers le grand public tout en se professionnalisant – à titre d’exemple : juste après notre propre exposition No-Xice à la médiathèque de Luce Courville, autrement dit, une médiathèque de proximité, celle-ci accueillait une nouvelle exposition sur le rétro-gaming, avec Frag’n Fun. Plus besoin d’attendre un évènement éloigné, rare et destiné à un public averti ! Et on est passé de salon ou festival à exposition statique ou interactive. J’ai trouvé le phénomène intéressant. Effet de société et de génération ?
Les joueurs de la première heure sont désormais en mesure de proposer des animations tandis que d’autres demandent ce type de prestation et l’ajoutent volontiers au calendrier d’un salon grand public, d’une médiathèque de quartier ou d’un team building d’entreprise. L’offre d’animation semble se structurer avec des prestations dédiées.
Toujours à Nantes, existe également la Nantes Accoord Games Week complètement dédiée aux jeux vidéo dont des jeux plus anciens – et j’ai l’impression que la définition de retrogaming s’élargit à mesure que le temps passe. Ce qui reste logique, puisque de plus en plus de jeux vidéo rejoignent la catégorie des « anciens » jeux. Quels seraient d’ailleurs les critères pour accéder au panthéon du jeu rétro ?
Peut-être n’est-il d’ailleurs pas toujours souhaitable d’isoler le retro gaming du gaming moderne. Et pour revenir à mon premier exemple : lors de la précédente Nantes Digital Week, Frag’n Fun y animait déjà un temps fort sur le jeu vidéo rétro comme le jeu vidéo récent avec la VR (réalité virtuelle). Quant aux fans de rétro en particulier, sachez que Frag’n Fun dispose d’une animation dédiée au rétrogaming avec La Boîte à Pixels !
Tous les festivals ne proposent pas de rétro gaming pour autant, bien sûr. Sans doute en raison de l’approche même du festival – rayonnement plus large côté sujet comme visiteur. De même que certains jeux se destinent à des groupes tandis que d’autres à des joueurs solitaires, pour attirer des publics complémentaires il est opportun de varier les activités. Comme la création de jeux vidéo, par exemple ! A Nantes justement, y est présent le réseau Nantais AtlanGames, producteur de Nantes Game Xperience, au même titre que La Cité des Congrès et La Boîte à Pixels que je mentionnais précédemment. Je pourrais aussi citer les Game Jam organisées annuellement en amont des Utopiales, un festival également accueilli par la Cité des Congrès de Nantes.
Pour revenir au sujet spécifique du musée, s’organisent des expositions de jeux vidéo, en région parisienne le plus souvent, sous l’égide du Musée du jeu vidéo – eh oui, un musée du jeu vidéo, ça existe ! L’arrivée au musée de matériel marque-t-elle le passage définitif dans la vieillerie, le cabinet de curiosité, où l’on touche avec les yeux seulement ?
Heureusement non ! Et pour définitivement sortir du chauvinisme local, je cite un second exemple d’évènement cette même année 2018, de grande taille : la Paris Games Week à Paris Expo, porte de Versailles– une nouvelle édition s’est tenue en 2019 depuis l’écriture de l’article(1) – ce même lieu avait accueilli une exposition & démonstration similaire en 2014, à laquelle je m’étais d’ailleurs rendue et dont sont issues les photographies présentées ici ^.~
Donc quand on parle d’exposition de jeux vidéo, on ne parle pas nécessairement de la présentation d’une œuvre obsolète et figée, avec des textes et des images (fixes ou animée) à simplement regarder ; on parle aussi d’un jeu manette en mains, bref, d’une expérience ludique, interactive et éminemment tactile. Avec certes une contrainte technique : pour les jeux d’arcades et les anciennes consoles, le site a besoin de matériel « d’époque » en état de marche – voire d’émulateurs pour les jeux PC.
(1)Article commencé le 23 septembre 2018, jour de l’exposition à Luce Courville. L’article va finir par devenir aussi rétro que son sujet, le rétrogaming XD
Née en 2007, l’association Wazabi organise depuis 12ans soirées puis conventions dans l’Ouest. Son prochain évènement, Wazabi Odyssey, se tiendra à Saint-Herblain, dans la périphérie Nantaise, à la salle de la Carrière.
Cette année encore, Wazabi nous concocte une affiche variée, entre créateurs ou vidéastes à découvrir d’un côté, et des personnalités ou activités déjà bien ou mieux connues de l’autre – par exemple, l’un des invités est le youtubeur Siphano (chaînes Siphano et SiphanoTV) sans parler de Bô Gaultier de Kermoal, auteur, réalisateur et notamment acteur de la série médiévale parodique Kaamelott. La partie jeux musicaux, jeux scéniques et jeux de plateaux s’étoffe cette année avec un tournoi de Magic The Gathering. Un concert est également prévu.
Plutôt que de vous faire un pitch qui ne serait qu’une pâle copie du programme, voici au choix :
le site officiel de l’association Wazabi pour Wazabi’s Odyssey, mythes et légendes
Au début surtout connue pour la qualité de sa cuisine, Wazabi sait se renouveler et fait partie des rares associations à vivre si longtemps dans la promotion de la culture japonaise et « geek ». Alors GO Wazabi pour cette prochaine édition !
Et vous, rendez-vous samedi 12 et dimanche 13 octobre, rdv pour les festivités !
Du 12 au 22 septembre, a lieu la Nantes Digital Week. Un festival ouvert à tous sur les nouveautés numériques et leurs usages, du plus sérieux au plus ludique !
Cette année encore, le programme s’annonce riche de découvertes et d’expériences pour cette 6ème édition, coportée par Nantes Métropole et La Cité des Congrès de Nantes. Personnellement, j’essaie d’y faire un saut tous les ans et j’y ai toujours été enthousiasmée. L’occasion de s’informer des évolutions, d’apprécier ou questionner leur utilisation ; surtout, de partager ou de faire découvrir aux moins initiés – je me rappelle encore des premiers pas d’une amie en réalité virtuelle ^.~
Cette année, c’est l’exposition Geek Art et la conférence Pop Culture qui m’attire spécialement – alors que je suis d’habitude tentée par les questions autour de la robotique domotique et de son aide ludique et pratique, des données personnelles et des interactions humaines liées aux outils numériques, ou de l’impact social et environnemental des nouvelles technologies.
A plusieurs reprises, j’ai partagé ici des illustrations* pour une amie romancière. Voici à présent quelques photographies de l’auteure qui m’a tant inspirée !
Une série de dédicaces qui commençait hier pour l’auteure Solène Bauché – ici à Nantes, au sein de la librairie de L’Atalante ! Solène dédicaçait donc son premier roman, Le Choix du Roi, aux côtés d’un autre jeune autrice, Emmanuelle Ferré, qui présentait son deuxième tome pour La Confrérie des Mages. Les deux romancières ont été annoncées sur les réseaux sociaux et sur la devanture de L’Atalante :
C’était un plaisir de voir Solène dans ce cadre, lors d’un évènement qui symbolise vraiment la concrétisation de son travail ! D’autant que l’ambiance était détendue dans le cadre presque intimiste de la librairie :
Si vous avez déjà jeté un œil aux liens que je vous fournissais lors des mes précédents articles, vous connaissez le roman ; sinon, voici l’objet du désir :
Un récit d’aventures où l’auteure mêle faits historiques et trajectoires personnelles, entre une réalité et fantastique. L’ouvrage de Solène a été très favorablement reçu par les critiques en ligne des lecteurs – avis auquel je souscris ^.~
* Les illustrations en question – un triptyque des principaux protagonistes :
Je reviens de l’évènement « Mai oui ! » organisé par « Artistes et vous » : une médiation au contact des artistes en résidence à la Madeleine de Nantes.
Des projets aussi riches et différents que leurs porteurs ! Ici, l’espace photo pour la réalisation d’un annuaire artistique des habitants, réalisé par le studio « Bamanao » des éditions FP&CF :
… En parallèle de leur cadavre exquis où le dessin de l’un prolonge celui de l’autre. Un peu plus loin, le photographe Paquito Couet nous présente la sérigraphie et différents résultats sur une même image :
Sans vouloir paraphraser le dépliant de la saison 18/19 à la résidence, j’ai aimé la complémentarité des supports – avec différentes installations dont plusieurs projets multimédia – en voici un exemple :
La salle polyvalente où je me suis le plus attardée était spacieuse et agréable – j’espère que les artistes en résidence ici s’y sentent bien !
Ce dimanche était un peu plus « culturel » que mes précédents sujets, pour un article légèrement plus tardif de quelques heures, car je souhaitais rédiger une brève à chaud cette fois-ci. Bon après-midi dominical à vous tous !
Quelques liens correspondants aux installations photographiées :
Un moment de zen et de chaleur, quand les feuilles bruissent aux premières lueurs.
Le printemps est arrivé et avec lui, une nouvelle vidéo – ou ici, un gif animé :
Cette illustration de jardin japonais, vous la connaissez au moins en partie : c’est mon fond d’écran pour ce site web, Yrial in Sight, et également ma bannière pour les réseaux sociaux Twitter et Facebook !
Ce dessin s’inspire du jardin japonais de l’Île de Versailles, à Nantes. Y sont organisés, à la Maison de l’Erdre, des évènements comme Passion Japon et des expositions temporaires aux thématiques fortes.
Je vous en dit un peu plus sur le procédé dans jardin japonais à Nantes. Ici je souhaitais adapter le décor de manière à ce qu’il fonctionne sans le personnage représenté lors du pique-nique Wazabi ; un buisson d’arbustes taillés en plateau me semble une bonne option !
Cette illustration reste importante pour moi puisqu’elle situe bien mon univers, entre réalisme (par sa composition) et fantastique (pour ses couleurs sucrées). Elle change avec moi ! Et vous, y a-t-il une image qui semble vous correspondre, même avec les années et vos évolutions ?
Nous sommes au printemps et pourtant, j’illustre une nouvelle scène d’hiver en forêt d’épineux – probablement éclairée de torchères en arrière-plan. Nouvelle scène inspirée du « Choix du Roi », un roman de Solène Bauché* !
Indice : les cheveux longs seraient synonymes de puissance et on le dit « à la barbe fleurie »… Pour un portrait d’homme plus mûr que ce que je dessine en illustration¹ et toujours ce jeu de lumière oscillant du bleu à l’orangé, que j’ai développé pour le trio de protagonistes tirés du roman :
Eh oui, Charles ou Charlemagne, ou encore Carolus Magnus, le père d’Amaudra et de Pépin, clôture ici mon triptyque de personnages en tribut au Choix du Roi. Un mélange de froideur et de douceur, de tristesse et de complicité que rencontre une éventuelle culpabilité dans ses traits à la fois jeunes par ses ambitions et déjà vieillis par les soucis. Un côté énigmatique sans le déparer de sa stature – où le dynamisme orangé (symbolisant ses conquêtes) côtoie le calme d’une froideur bleutée (imageant la rationalité).
Par certains aspects, même après avoir terminé la lecture, j’en veux encore à ce Charles : il m’était donc difficile de le rendre purement sympathique et le teint presque cireux est certainement la traduction colorée de ce sentiment mitigé. Il regarde légèrement vers le passé, car lors de cette rencontre, ces enfants figurent un présent manifeste à chaque seconde – Amaudra comme Pépin sont d’ailleurs représentés de face dans mes précédentes illustrations.
¹ en illustration, mais pas en BD où finalement je dessine autant de personnages d’âges murs que jeunes.
*Pour l’anecdote, Solène Bauché est une auteure Nantaise et Vannetaise : n’hésitez pas à vous rendre sur sa page Facebook Solène Bauché Romancière, ou découvrir un extrait de son roman Le Choix du Roi sur Librinova !
Comme annoncé dans le projet Winteries en février, plusieurs de mes portraits Winter Manga Characters, notamment publiés en ligne cet hiver sur Deviant Art, sont au programme. Sont également prévues de nouvelles illustrations, issues de mes récentes galeries de paysages ou « landscapes » sur deviant Art– plus exactement deux d’entre elles, qui se prêtaient particulièrement bien à la thématique – saurez-vous devinez lesquelles ?
S’y ajoutent enfin des portraits plus réalistes – que je vous partagerai depuis Deviant Art, là encore sous forme de devinette, pour changer. Bientôt ^-^
Pour satisfaire votre curiosité d’ici-là, retrouvez :