Cinema, Fantasy, Twilight 2 : New Moon

affiche-twilight-2Twilight, réalisé par Chris Weitz, ou la romance vampirique du moment !!! Public adolescent, certes, mais à 40% masculin, contre toute attente. Comme quoi, curieux de savoir ce qui ferait craquer les filles ou envie de prendre tout le film au second degré ? Le deuxième volet de cette épopée moderne et lyrique, « Tentation » en Français, nous emmène sur le chemin sinueux des soupirs de Bella, entre vampires et loups, et ce n’est pas de tout repos ! Plus sombre que le premier Twilight, le film se veut moins énigmatique, plus dynamique et se révèle techniquement bien au dessus du premier volet : la fluidité des loups est époustouflante de force et de nervosité, un régal pour les yeux !

Ambiance plus sombre, mais moments d’humour beaucoup plus nombreux, manifestement auto-parodiques – et c’est là que voir un film au cinéma vous le fait apprécier : toute la salle réagissait de concert. Subsistent encore quelques points noir dans cet épique minois adulescent : les relations Bella-Edouard et Bella-Jacob font un peu copier-coller, genre « Je m’éloigne de toi, parce que sans moi, tu auras une vie meilleure, enfin, une vie normale d’humaine, tu vois »… Oui, c’est un classique efficace mais redondant. Et sincèrement, je ne spoile pas, ça se devine d’emblée. A part ça, très bon moment en perspective, jolie fiction romanesque, bien drôle (ou alors c’est moi qui voit des gags partout ^^°) !

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Croquis pour Wazabi

Sketches and FanArt of the Female Character of Wazabi Association, whose next event will take place on Saturday, 21th November in Nantes.

Croquis et Fanart du personnage féminin de l’assocation Wazabi, dont le prochain évènement aura lieu samedi 21 Novembre à Nantes.

Un personnage tout doux, à qui on passerait une ombrelle en bambou :

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Style un peu plus « chinois » – que je ne retiendrai pas – mais j’ai simplifié la coiffure :

Commission-Wazabi-sketch-02

Et cette fois, le kimono de rigueur avec la poitrine bandée, le obi haut et large, la stricte coiffure de rigueur, et un style très mixte franco-manga au final ! Et on change pour une ombrelle – parapluie :

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Le premier et le dernier dessin pourrait tout à fait être mis en couleur pour une illustration !

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Cinema, SF, 2012

affiche-2012Toujours portée dans le courant des Utopiales, temps fort cette année sur une discussion d’un avenir meilleur ou quels avenirs / fins humaines à envisager, je vous présente brièvement « 2012 », réalisé par Roland Emmerich. Suite à l’observation d’un accroissement considérable de l’activité solaire, des géophysiciens anticipent l’action des particules sur le réchauffement des couches du noyau terrestre, qui induirait un mouvement sans précédent des plaques tectoniques …L’hypothèse se trouve progressivement confirmée et aboutit à une « refonte » totale du paysage, dans une cascade de volcans enflammés, de villes détruites et de choix humains plus que délicats voire controversés.

J’avais adoré l’humour et le tempo d’ « Independance Day » – et oui! – , été impressionnée et marquée par le côté grandiose et la tension du « Jour d’Après »… Mais j’avoue que « 2012 », malgré la qualité graphique du spectacle, me laisse sur la fin en matière de fil conducteur. Toujours est-il que la question de la sélection naturelle prend une toute autre forme dans l’anticipation de ce type de phénomène et nous est présentée sans fard. Il est donc moins question de courage ici que d’organisation pragmatique, financière et matérielle, dans l’éloboration d’un projet humain. A vous de voir jusqu’où peut aller la fiction !

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Mélusine & MéluZine

Nouveau Dessin : Mélusine & MéluZine

Petit dessin pour l’association Méluzine, une équipe sympathique dont la vocation est de promouvoir les jeunes auteurs et sillone le pays en quête d’évènements culturels ! Bon, ici, vous avez droit à une … réinterprêtation de l’égérie de l’asso, à savoir, la fée Mélusine comme « gardienne des fontaines », d’où le mouvement aquatique et des couleurs virant au bleu-vert. Le carnet qu’elle tient n’est autre que la version romancée de leur ouvrage « Fanzine, mode d’emploi ». ^o^ Alors, passez voir Méluzine en convention !

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Cinema, SF, Clones

affiche-clones« Clones » ou initialement « Surrogates » est un film de science-fiction américain de Jonathan Mostow, dans la droite lignée du thème des « Mondes Meilleurs » proposé par les Utopiales. Dans un avenir proche, suite aux recherches sur la motricité de paraplégiques, ont été mis au point des « clones de substitution », télé-commandables depuis un fauteuil de transmission. Mais c’est finalement la quasi majorité des humains, qui, sous la promesse de « tout vivre en totale sécurité » s’en est progressivement emparée, chacun revêtant une apparence choisie de toute pièce, à la manière d’avatars…pas si virtuels que ça! Seuls quelques groupes humains isolés résistent à cette utopie.

Le but ici n’est pas tant de spoiler que de mesurer à quel point cette spéculation – ou hypothèse, après tout où en sommes-nous de nos recherches dans ce domaine – serait accueillie par les sociétés modernes. Le film nous en présente les deux aspects : d’un côté, la possibilité de se montrer à nos semblables perpétuellement jeune, sans ride ni cicatrice, de sauver des vives sans perdre la sienne…Et d’un autre, l’oubli de sensations simples mais au combien vivantes d’un cœur qui bat, d’une larme retenue ou d’une fragile caresse.

« Clones » est avant tout un film d’action, sur fond d’enquêtes explosives et d’âmes meurtries. Car ces machines de métals et de plastique aux capacités démesurées restent le reflet d’êtres humains animés d’ambitions, de regrets et de motivations bien réelles. A vous de voir !

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Festival des Utopiales de Nantes

Par hasard, un ami m’invite à un festival, à Nantes ; je m’y rends donc – en train – , on se retrouve devant la Cité des Congrès. A peine entrée, je suis happée par une gigantesque expo d’Enki Bilal, des salles de conférences et de projections animées – c’est d’ailleurs ainsi que je découvre, en VO, Ghost in the shell, un monument alors et je l’ignorais. On est en 2000, c’est la première édition des Utopiales.

Depuis que je suis installée à Nantes, je tâche de n’en manquer aucune édition ! Car ce festival de sciences fiction explore très agréablement la science-fiction, la fantaisie, le merveilleux, voire l’étrange, dans des œuvres projectionnistes de tout support, allant de la bd au cinéma, en passant par les romans, les jeux, les expositions. Et c’est parti pour ce tour d’horizon des Utopiales 2009 !

affiche-utopiales-2009

Le thème de cette année nous vient tout droit du roman d’Aldous Huxley, avec ce titre simplement devenu question : « Des Mondes meilleurs ? ». Avant de plonger tête première au cœur de problématique comme l’immortalité, l’influence de l’homme sur l’environnement, ou sur ses propres congénères, un petit tour s’impose au pays de Dinotopia et de son créateur, James Gurney.

James Gurney est l’auteur et l’illustrateur de Dinotopia, un monde où dinosaures et humains vivent en parfaite harmonie ; une exposition dans le hall principal de la Cité des Congrès présentait d’ailleurs ses travaux à travers une exposition et une interview. Pour l’affiche des Utopiales 2009, c’est le Nantes de Jules Verne, avec un décollage express depuis la place Royale qui nous sont présentés. Et bien sûr, un voyage à destination de…Dinotopia !
Aparté : au cours de la création de l’illustration ci-contre, le dessinateur raconte (imagine) des traces de reptiles géants aux alentours de…Clisson, juste à côté de Gétigné (cf.article) !

Toujours dans le milieu de l’image, mais en bande dessinée cette fois, c’est à Leo (Aldebaran, Betelgeuse, Antarès…) de se prêter au jeu de la rencontre-débat : entre la création de personnage féminin fort et de l’utilité des animaux en tant qu’obstacle à la colonisation par l’homme, il nous explique comment l’organisation en temps de survie consiste, dans un monde hostile, à l’instauration d’une dictature sur le partage des tâches.

De nombreuses conférences ont bien entendu suscité plus que de l’intérêt, parmi elles « Manga et monde meilleur » avec Ikigami et Macross, « Le Darwinisme : une impasse ? », « Un monde meilleur est-il en nous ? », et les sujets traitant du Space Opera. Un des meilleurs moments fut la conférence sur l’avenir de la civilisation humaine. Mais si je retranscrivais intégralement mes souvenirs et mes notes, le post s’allongerait considérablement. Or il est déjà très long !

Aussi je choisis de m’arrêter, en ayant simplement porté l’accent sur la partie dessinée de cet évènement et clôturer le post sur la journée MangaTan, portée par Univers Partagés et ponctuée de conférence-débats, animations, et projections d’anime.

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Festival Quai des Bulles de Saint Malo

Petit rappel aux habitants de la Région : rendez-vous sur les quais de Saint Malo ce week-end, pour une nouvelle édition du festival !

affiche-quai-des-bulles-2009

Retrouvez vos auteurs préférés, en dédicace ou en rencontre professionnelle et bien sûr des expos, entre le Palais du Grand Large et les fameuses Bulles à quai !
Les bandes-dessinées franco-belges d’Uderzo et du groupe Dargaud y côtoient déjà la bande dessinée japonaise proposée par Ankama, et des auteurs de la fameuse génération anime, aux éditions Soleil.
Plus d’informations sur le blog du Festival Quai des Bulles.

Edit de retour de Saint Malo :
Surprise car l’ambiance du festival a bien changé depuis ma première visite en 2005, où j’avais d’ailleurs rencontré Xiao Pan. Le festival apparaît vraiment comme plus… « Grand », à tous points de vue, entre les différents espaces d’expositions et de rencontres, entre les bulles ancrées à quai (si je puis dire) et les différentes salles ouvertes du Palais du Grand Large. Tellement de monde qu’il a été plus compliqué de retrouver ses connaissances, mais heureusement, il est toujours possible de compléter des collections d’artbooks dragonnesques auprès d’auteurs que l’on revoit rarement sinon ! Et malgré la foule nettement plus dense que dans mon souvenir, les grandes baies vitrées inspirent toujours au calme et à l’évasion. ^__^

Le festival a donc franchi un cap, et se hisse aux rangs des grands évènements culturels de l’image dessinée et projetée. Sur le plan du contenu en terme d’invités et d’animations, comme sur le cadre par la qualité du lieu et son organisation. Une redécouverte. A suivre !

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