En invité d’honneur, j’appelle… Le jeune homme !
Vous reprendrez bien un peu de character design ? Idem que pour le précédent post, voici le deuxième personnage principal pour la mini BD 31 décembre. Je dis le deuxième, même s’il apparaît en premier dans l’histoire. Galanterie oblige, il a cédé sa place à la demoiselle ^o^ ! Il s’agit d’un jeune homme, diplômé et arrivé dans son premier travail à temps plein. A priori, il est dans une situation professionnelle prometteuse. Bref, c’est parti pour :
- les recherches de tenues vestimentaires :
La première version, un peu « guindée » du jeune cadre dynamique type (si ça existe^^) :
Une version qui lui correspondrait s’il était bien dans sa peau et ses basquettes… Mais ce n’est pas si simple, comme vous avez pu le lire dans la bd ! Une version que j’ai rapidement balayée de mes recherches pour une tenue plus détendue – limite encore étudiante :
Avec tout ça, on devine une personne qui a un peu de mal à avancer. Mais je m’arrête là si vous n’avez pas encore lu 31 décembre ! ^.~
- les recherches sur le visage / le style de coiffure masculine :
- quelques expressions possibles :
Ici, je n’avais comme indication que les lignes de textes de dialogue / monologue, plus la mention « l’air tristoune ». Donc finalement, mon personnage en ressort assez peu expressif, dans l’illustration de la nouvelle tout du moins. Dommage ! Peut-être aurais-je dû prendre davantage de libertés. Même si ça n’a pas été mon principal souci, je l’avoue ^^°
Car, autant j’arrive à décliner des variantes sur un modèle bien travaillé, autant changer la caméra pour passer en plongée, contre-plongée, etc… C’est encore difficile ! Il me reste beaucoup à apprendre et à pratiquer pour dessiner un sujet sous tous les angles. Enfin c’est en prenant des risques qu’on apprend paraît-il ^.~
Cette dernière séquence se veut volontairement triste, et au cours du story-board, j’ai changé de plan pour la scène où les larmes s’échappent et roulent sur ses joues. Je trouvais plus fort qu’elle se pose une main sur la bouche, comme pour s’empêcher de laisser sortir sa douleur morale.
