Cinema, Comedies, Listing

La rubrique Cinéma a été un peu délaissée ces derniers temps, aussi je me rattrape ! Comme les prochains articles vont malheureusement faire références à des films sortis de plus ou moins longue date, je commence par quelque chose de différent : une liste de coups de cœur du moment, un peu comme le fait SuzieSuzy avec ses fameuses traklists (au passage, elle a refait la charte graphique et l’animation de son site, c’est vraiment sympa).

Et ça commence avec des comédies récentes (tellement récentes que certaines ne sont pas encore sorties et pour lesquelles je n’ai vu que les bandes-annonces, mais je les sens bien), donc avis aux amateurs / amatrices ! Alors c’est parti pour du bon mainstream US qui détend… Et un goût sincèrement très féminin et assumé, pour des titres dignes de soirées entre filles ^.~

– Dans la catégorie des escapades délurées :
> Very Bad Trip de Todd Phillips (1 ou 2, le 1 est marrant, pour le 2 je ne sais pas),
> Mes meilleures amies de Paul Feig (Very Bad Trip version fille paraît-il).
Ces deux (ou trois)-là ont une base scénaristique commune et enchaînent les gags de situation en cadence.

– Dans la catégorie des controverses quotidiennes * :
> Comment font les femmes ? de Douglas McGrath
> Comment tuer son boss ? de Seth Gordon
Oui, mais…Comment ? ^^ Les américains aiment décidément bien les titres qui commencent en « how to », surtout en bouquins.

– Dans la catégorie « rencontres »* :
> Crazy, Stupid, Love de John Requa et Glenn Ficarra
> Il n’est jamais trop tard de Tom Hanks
Je suis allée voir le premier mais la projection s’est arrêtée en cours de route : une panne d’électricité généralisée à tout le pâté de maisons nous a fait quitter le cinéma à la lueur des néons de secours…Quant au deuxième, la thématique me rappelle le film français La tête en friche, de Jean Becker.

– Dans la catégorie des « relations pratiques » * :
> Le mytho – Just Go With It de Dennis Dugan
> Sex List de Mark Mylod (celui-là, je tâcherai vraiment de le voir)
> Sex Friends d’Ivan Reitman
> Sexe entre amis de Will Gluck
Cherchez l’intrus…Je n’en reviens pas que 3 titres similaires sortent en même temps, mais me direz-vous, ça doit être à la mode, voyez-vous à quoi je fais référence ? ^.^°

Voilà pour cette première liste de comédies humoristico-romantiques US, à consommer dans les salles obscures ou en VOD**. A priori ces films devraient avoir un traitement drôle et frais, tendre et décapant, à l’américaine. Une liste exclusivement mainstream donc, je le reconnais, aussi, une prochaine fois, vous aurez droit à un petit article sur Le Chat du Rabbin vu, pour le coup, dans un cinéma d’art et d’essai.

* Oui je m’amuse bien avec les titres de catégorie, listés à la manière d’un jeu des sept familles…
** Video On Demand, autrement dit, de la location virtuelle de films comme on le faisait avec les K7 puis les DVD. Mais vous connaissez sans doute déjà le système !

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Bride Stories de Kaoru Mori

On a la chance, en France (sans chauvinisme – je vous voir venir), d’avoir un catalogue de BD, comics et manga très riche ; ce serait dommage de ne pas en profiter. Alors, même si je n’ai encore jamais rédigé de brèves sur une lecture quelconque, celle que je vous présente aujourd’hui vaut sincèrement le détour. Aussi…Je me lance ! Découvrez Brides Stories, aux éditions Ki-oon !

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Bride Stories, comme le titre le laisse supposer, traite d’histoires courtes sur les jeunes mariées. Mais pas n’importe où : l’auteur et dessinatrice, Mori Kaoru, a choisi en lieu et temps l’Asie Centrale du XIVème siècle ! Un sujet qu’elle maîtrise parfaitement, mêlant les anecdotes de la vie quotidienne, les alliances claniques, et les tenues vestimentaires époustouflantes de détails !

Les tomes 1 et 2 s’attachent plus particulièrement aux premières péripéties de la jeune Amir, au sein d’un mariage arrangé. Vu l’ouverture à la fin du deuxième tome, les tribulations vont se poursuivre au travers du regard d’un étranger, le britannique Smith, mais je n’en dis pas plus !

Si on y explore l’univers des femmes, dans une société patriarcale – et on sait combien le sujet des genres est actuellement polémique (hum) – ce qui m’a marquée, c’est la densité scénaristique au niveau sociétal : jeunes et moins jeunes, hommes et femmes, tous sont mis en scène au travers de moments de tension et de passages plus tendres. Le tout orchestré d’un découpage sobre et dynamique, excellent rythme !

Ce seinen est vraiment complet, autant pour ses scènes d’action, entre archerie montée et combat, que pour le soin apporté aux relations humaines. Deux tomes sont actuellement sortis chez l’éditeur Ki-oon et je vous invite fortement à le feuilleter, ne serait-ce que ça, rien que pour sa qualité graphique.

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Concept Art and Matte paintings

C’est aux Utopiales de Nantes 2007 que j’ai découvert le « concept art », à travers une exposition de Christian Lorenz Scheurer : Entropia*. Un coup de coeur immédiat pour cette exposition – et la démonstration de matte painting associée – mêlé d’un puissant flash back des années passées dans les rayons Science-fiction des librairies bordelaises. Car, oui, si vous ne le saviez déjà, le matte painting intervient aussi bien dans les couvertures d’ouvrages que dans la conception de films et de jeux vidéos.

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Matrix, Avatar mais aussi Titanic, Prince of Persia… Films fantastiques ou historiques, le concept art est une étape indispensable à la visualisation des décors, qui sont ensuite incrustés en 2D ou modélisés en 3D, suivant les besoins du projet. Quant aux dessins animés et aux jeux vidéos, seuls les décors distants sont maintenant susceptibles de rester en 2D, le reste étant, pour les besoins de la caméra, passés en 3D. Si, dans les jeux vidéos, le fond 2D signifie bien l’éloignement en opposition avec le premier plan 3D (exemple de la scène issus de Sands of Time, pont et remparts), les techniques modernes savent maintenant très bien retranscrire la perspective atmosphérique. Toujours que les exemples seraient bien trop nombreux et non exhaustifs. Vous voyez déjà très bien de quoi il retourne !

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Le matte painting découle du concept art : c’est la finalisation, en quelque sorte, du travail d’imagination suite au brief créatif. Procédé cinématographique à l’origine, le matte painting était pratiqué sur verres ; aujourd’hui, si le matériel numérique a largement remplacé ce support, la finalité reste identique : assembler acteurs et décor, qui auront été filmés séparément. Quoiqu’il en soit, le matte painting reste de l’illustration et use donc des mêmes techniques que les tableaux de maîtres. Le but étant, à travers des degrés de précision différents, de guider l’œil vers l’essentiel de l’action : mettre en avant des premiers plans (ou éléments principaux qui peuvent être volontairement excentrés) et laisser flous les éléments d’arrière-plan ou secondaires.

J’avoue avoir une forte préférence pour les designs environnementaux (nature et architecture), aussi cette petite sélection d’artistes s’attache surtout à leurs réalisations de décors :
– François BARANGER : http://www.francois-baranger.com/
– Stephane BELIN :
– Deak FERRAND : http://www.hatchfx.com/
– Stephan MARTINIERE : http://www.martiniere.com/
– Geoffroy THOORENS : http://www.djahalland.com/
– Christian Lorenz SCHEURER : http://www.christianlorenzscheurer.com/
Pas de « line » ou encrage, rien que l’énergie du trait de couleur à l’état pur !

* Pour ceux qui souhaitent ce remémorer l’exposition de 2007, je vous renvoie à une très sympathique rétrospective de sci-universe sur cette rencontre arstistique !

Voilà pour cette aparté culturel de dessineux. Pas d’image pour cette article, car je préfère vous laisser voyager par vous-mêmes. ^.~ Bonne semaine à vous !

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A quoi servent les réseaux sociaux quand on a déjà un site…

news-2011-02-13-reseau-sociaux-yrial-insightInternet, c’est déjà un réseau. Une communauté planétaire connectée, parallèle à la « vie réelle » comme on dit, bien que les interactions y aient des répercussions ô combien palpables, tangibles, qu’elles soient affectives ou économiques, à l’échelle personnelle ou sociale. il y a du vrai sur internet, la vérité de chacun ! Alors si on a un site, n’est-on pas déjà dans cette communauté ? A quoi servent les réseaux sociaux quand on a déjà un site, et a fortiori un blog que l’on met (ou tâche de mettre) à jour régulièrement ?

Parce que le site, ça ne suffit pas. Et parce que le blog, ça ne suffit plus. Depuis un moment déjà, un blog est « has been » (nous sommes en 2011).

De réseau scientifique d’après-guerre, Internet est devenu le reflet « IRL » d’une gigantesque communauté au sein de laquelle émergent des communautés plus petites, regroupant parfois des milliers d’internautes. Et si le blog offrait la possibilité de relater les dynamiques turpitudes individuelles dans l’océan de la blogosphère, les gens ont eu besoin de reformer des groupes plus restreints et plus représentatifs de ce qu’ils sont / aiment / veulent échanger : des communautés thématiques (artistiques comme deviant ou sheezy art) aux communautés générales (myspace, windowslive), on peut y aménager son profil, afficher ses œuvres et échanger avec les autres membres, créer des clubs, se faire des « amis ».

Les plateformes de gestion de contenu (blogspot, skyblog, mais aussi facebook) ont parachevé le tableau de l’accessibilité pour tous. Génial pour les néophytes qui n’ont ni le temps ni l’envie de monter un site, salvateur pour qui le code s’apparente aux voies impénétrables, idéal pour qui graphisme et ergonomie recèlent des relents d’obscures langues étrangères. Certes on n’y est pas le propriétaire de ses données personnelles et elles peuvent atterrir entre de curieuses mains, mais on peut rapidement passer à l’essentiel : communiquer ! A tel point que l’être humain a parfaitement su recréer le brouhaha de la vie quotidienne.

Sincèrement, je trouve la création de ses plateformes parfaitement adaptée et comme je participe directement au brouaha commun, je ne vais pas m’en plaindre ! Seulement, voilà : il est facile de rester douillettement calfeutré sous la couette de son réseau social de prédilection. A la manière des supermarchés et divers magasins qui vous refilent leur carte de fidélité, la navigation au sein d’une communauté incite fortement l’internaute à y prendre racine. Alors, si on n’a pas sa page facebook, son compte viadeo pour la France et linked in à l’international, est-on, réellement, visible ?

Avec le foisonnement providentiel des réseaux sociaux, référencer son site dans les moteurs de recherches et multiples annuaires disponibles (ce que je n’ai toujours pas fait ^^) est-il suffisant ? Ou faut-il envisager d’adhérer à toutes les communautés existantes / appropriées / intéressantes à titre pro ou perso, pour faire entendre, ne serait-ce qu’un filet de voix ? Twitter semble avoir été particulièrement sensible à ce désir de cultiver son e-reputation et offre à chacun la possibilité d’enrichir ses différents comptes à moindre frais : on peut désormais associer l’application à nombre de profils, plus besoin de se rendre la page X ou Y du site Z, il suffit de gazouiller ! Ok mais si tout le monde fait pareil ? Car ne plus se rendre « physiquement » à la communauté (se connecter quoi), c’est ne plus rien écouter de ceux qui y résident !

On communique plus facilement, plus loin, plus vite, mais j’émets un -léger- doute sur la qualité de l’échange. En pratique, tout dépend de l’objectif visé, entre profil vitrine et salon virtuel : pour qui ajoute son cv sur les banques de cadre emploi et autre ouestjob, assure la concordance de son existence sur un viadeo ou un linked in, ça reste logique ; si en plus il poste son book sur un rienquemonsecteurpro.fr c’est magique ! Reste que les recruteurs se méfient s’ils ne trouvent trace d’une vie sociale autre que professionnelle, genre carrément suspicieux et incongru de pas adhérer à facebook. Bientôt peut-être, dysfonctionnel de dédaigner le smartphone et la connectivité non-stop au monde.

Parce qu’il ne s’agit plus d’entourage, non, l’enjeu semble s’être déplacé à « séduire le monde ». Peut-être pas le monde entier mais le plus de monde possible. Car finalement, le but ultime n’est-il pas de créer chacun une communauté qui graviterait autour de soi ? Autant j’ai en parfaitement saisi la nécessité de survie économique au niveau entrepreneuriale, autant au niveau individuel, je trouve ça… Ambitieux ! Alors bon courage !
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Je suis bonne pomme et je choisis de jouer le jeu sciemment, comme vous, quoi ! Voilà pourquoi :
– sur la page Facebook d’Yrial in Sight @yrialinsight, vous trouverez quelques news concernant le site + des évènements et d’autres sites que je souhaite partager ;
– sur le compte Twitter d’Yrial in Sight @yrialinsight, vous trouverez quelques news sur des avancements de travaux, les challenges artistiques + des retweets de vous que je juge intéressants ou amusants, tout simplement !
– sur le compte Instagram d’Yrial in Sight @yrialinsight, vous verrez des encours et des travaux finis (édit : 2018), différents de ce que je partage sur Facebook et sur Twitter.

Pour le reste, il y a le flux RSS et mon blog qui vous tiennent au courant régulièrement ^__^ … Et mes galeries sur sheezy art et deviant art, qui, elles ne sont pas à jour et que peut-être, j’investirai à nouveau ^.~

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Un monde de bulles spécial Tim Burton

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Si vous ne connaissez pas déjà l’émission Un monde de bulles, c’est le moment d’entrer en la matière avec cette rétrospective sur Tim Burton, où les frous-frous d’Alice révélés !

L’émission se consacre habituellement à la bande-dessinée et s’attache à présenter plusieurs œuvres en invitant leurs auteurs / acteurs du milieu.

Retrouvez toutes leurs émissions sur tv-replay ou sur le dailymotion de Public Sénat, notamment pour les numéros spéciaux comme Disney, les comics ou les mangas.

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Des tutos sympas !

Trouvaille sur le net ! Des tutos, ok, il y en a plein, mais pour ce que ça vaut, j’ai trouvé ceux-là très sympas ! C’est parti donc pour :

– un tuto très simple et efficace de Steven Stahlberg sur la colorisation des nuages ;

Si j’avais lu celui de Steven Stahlberg plus tôt, j’aurais peut-être pas fait pareils mes nuages, tiens…^^

– un tuto plus académique, de Ron Lemen, sur la construction des mains .

Edit : le tutoriel de Ron Lemen a disparu (le lien est mort) et à la place figure un site web proposant une formation payante « http://lemenaid.com/ » – oui, toujours un jeu de mot pour « limonade » – incluant les cours du couple de dessinateurs. J’indique aussi les vidéos YouTube du même auteur.

Ces tutoriels sont en anglais.

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Penser la bd en 3D, comme un jeu vidéo !

Une petite nouveauté aujourd’hui, car je vais vous parler d’un de mes hobbies récents : je n’ai jamais vraiment touchée aux jeux vidéos étant plus jeune, mais il y a peu, pour élargir mes horizons graphiques (et ludiques ^-^), j’ai eu l’occasion sur des conseils avisés, de me mettre au jeu Assassin’s Creed. Faisant l’impasse sur le premier volet de la série, je me suis directement attaquée au second opus, avec les aventures du florentin Ezio Auditore.

Une grande liberté d’action, des personnages classieux, et surtout de magnifiques décors. Alors que je cherchais à me perfectionner justement dans ce domaine du dessin, le jeu m’ a offert une belle opportunité : en effet, au lieu de se promener dans une vraie ville pour prendre des photos et s’entraîner à dessiner des bâtiments, l’avantage ici est qu’en bougeant la caméra, on accède tout de suite à de nombreuses vues des bâtiments, permettant de mieux penser en 3D. Ainsi, il m’arrivait de laisser le personnage en place à un endroit, juste pour trouver un bon angle de vue. Très pratique pour appréhender la perspective de façon beaucoup plus ludique qu’avec un bouquin !

Pour poursuivre dans la lancée et aidée pour cela par le cadeau d’anniversaire d’un ami, je me suis tentée également à Prince Of Persia – aussi d’Ubisoft – avec le quatrième volet, celui en « Cell-shading » ^-^. Le rendu me paraissait étrange au début, comme un dessin-animé, mais au final il est plutôt réussi graphiquement, la balade étant très dépaysante. Par rapport à Assassin’s Creed, le jeu se révèle beaucoup plus simple (on ne peut pas mourir, notre compagne nous sauvant tout de suite !), mais pour une personne assez peu habituée à jouer comme moi, c’est pratique au fond !

Pour conclure cet article, je vais me tenter à un exercice dont je n’ai pas vraiment l’habitude : l’art du fanart, en l’occurrence avec un petit dessin du bel Ezio ^-^ ! En général, j’ai toujours beaucoup de réticences à dessiner l’œuvre d’autres personnes, ayant toujours l’impression de leur « piquer » leurs créations – .-°

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Note : le dessin date du 1er avril, mais je n’étais pas satisfaite des couleurs…Pour le trait…Bah, ça change !

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Comic Live à Paris : le reportage de Total Manga

affiche-comic-live-paris-2011Le 26 mars dernier, se tenait le Comic Live à Paris ! Une collaboration franco-japonaise qui ne manque pas de faire echo en cette période… Rétrospective avec ce reportage du magazine Total Manga, qui vous donnera une bonne vue d’ensemble.

C’est la première fois qu’on voyait un évènement uniquement dédié aux fanzines, j’espère qu’après cette convention franco-japonaise, il y en aura d’autres !

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Le site de Suzy Suzie

suziesuzy

Petite annonce pour vous faire connaître le site d’une dessinatrice manga et coloriste, le site de Suzie-Suzy ! Fanzineuse depuis plusieurs années, certains doivent déjà la connaître pour son asso « Alsea » .

Elle a intégré le fanzine no-xice en septembre 2010 et a notamment réalisé des artworks pour le jeu d’Anamnesis. Elle travaille actuellement sur un projet qui sortira à la Japan Expo 2011…

Chez suzy-suzie vous parle également de drama (plutôt k-dram d’ailleurs ^^), de webmastering, de recettes, de jpop…Je vous laisse découvrir son blog et entre autre, un fanart très réussi de Ciel Phantomhive issu de « Black Butler » ! ^___^

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Site de Kômori on line !

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Petite annonce pour lancer le site d’une amie illustratrice et mangaka amateur ! Le site de Kômori, la designeuse et dessinatrice des personnages d’Anamnesis notamment, est en ligne : je vous laisse donc découvrir son univers, « Kômori no Sekai » ! ^___^


Edit : le site web « Kômori no Sekai » est remplacé par la page Facebook éponyme !

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