Entre rééquipement de tablette graphique et autres péripéties orangiennes, il y a quelque chose qui m’amuse beaucoup ces derniers temps, alors finalement, je partage !
Retour sur un jeu vidéo qui m’avait énormément plus d’une part, Prince of Persia d’Ubisoft Montréal*, et approfondissement très « personnel » d’autre part sur le premier opus, The Sands of Time, du même studio.
L’histoire commence quand j’ai re-re-fait le jeu Prince of Persia ; je suis littéralement fan de cet univers, idéal pour les casual gamers et aussi, je pense, pour le public féminin !
Pourquoi je dis ça ?
Pour sa prise en main particulièrement intuitive ? Ses ambiances musicales et colorées fantaisies ?
Ou pour les petites blagues coquines et les prises de bec des deux persos, les moments de galanterie du prince (dont on se passerait parfois parce qu’il faudrait avancer !) et les vannes qui fusent ; on aurait presque pu y ajouter des passages dignes de jeux de drague !
Bref (comme dirait Canal +), le déblocage de sphères amenant de nouvelles apparences, j’ai pu découvrir les skin issus des Sables du Temps, que j’avais vu tourner – sans y jouer – lors de sa sortie. C’est donc l’occasion de vous pondre un petit fanart d’Elika en tenue de Farah, dans les tons bleutés du Palais Royal !
La belle ne dispose pas alors d’arc magique et autres mensurations digne d’une bombe sexuelle (contrairement à Farah, si ça ne vous rappelle rien, regardez une vidéo du jeu, c’est flagrant !) et voit sa jupe raccourcir (pour compenser ?).
Note pour les éventuel(le)s puristes : oui, j’ai rallongé la tresse…^^° Ormis ce détail, bijoux et « chaussures » sont conformes !
Steam offrant de surprenantes promo, j’ai acheté les autres opus… C’est l’occasion d’appréhender les jeux datant du début de la 3D, avec The Sands of Time – et au passage, la caméra qui se planque derrière une colonne ou un drap en plein pugilat princier ! ^o^
Avec Les sables du temps, il n’est pas question de profiter des paysages comme dans « PoP », ou de refaire un monde en variant combinaisons de pouvoirs et combos d’attaque en couple ! On avance, triomphant admirablement – ou de justesse – aux pièges, intrigues et parricides variés. Toutefois le prince est curieusement très maniable ; on est loin du choc entre Ezio et Altaïr. Il est aussi terriblement macho et se prête par conséquent bien aux blagounettes ! Par exemple, quittez-le des yeux 30 secondes et voilà ce qui se passe :
Véridique, l’attitude du prince quand on s’arrête momentanément de jouer.
Mais le meilleur ! Pour vous mesdames ! ^O^/
Avez-vous remarqué que ce fameux prince est toujours, systématiquement, immanquablement, dessiné torse nu sur les jaquettes de jeu ? Or quand on commence The Sands of Time, et jusqu’au premier quart de la partie à peu près, monsieur est habillé à 100% ! Il faut attendre la sortie de la cour piégée (17%) pour qu’il perde une première manche…Et la scène de destruction du pont, à une petite moitié du jeu (46% pour être précise) pour qu’il craque sa deuxième manche. Enfin !
Scène très « Houga, ouga, homme fort » du jeu. Désolée pour le pseudo monochrome, cette troisième illustration n’a pas bénéficié d’autant de temps que les précédentes. ^^
A quand le strip-tease final ? Une motivation pour finir le jeu ? ^.~
Longue absence, long post. Alors suite de cette vision décidément très féminine du jeu une prochaine fois ! Avec un petit step-by-step d’Elika (pour revenir au dessin) !
*Petit coucou à Lucie, qui m’avait inspirée pour le dessin de La fille aux rubans et qui se trouve justement à Montréal en ce moment !