Raah ! Juste après l’épisode de la peau qui s’affadit en séchant – on parle toujours d’aquarelle, là, pas des méfaits du temps qui appellent un ravalement de facade ! – je me suis "forcée" à poser des couleurs plus intenses – plus saturées si vous voulez :
Tandis que l’essai de droite se voit glorieusement soldé par une jaunisse, l’essai de gauche s’annonce déjà plus prometteur. Ce qui me permet de rebondir sur une autre mésaventure aquarellesque : gare aux lumières artificielles en d’appartement, vous aurez des surprises le lendemain à la lumière du jour !
C’est entre autre, ce qui s’est produit pour le vert et le violet des bambous du précédent post…Peints sous abat jour vert ! Mais je reviendrai sur cette illustration car l’envie de me démange d’en faire une version digitale, pour comparer ^.~.