Tons chauds, tons froids

Avant-dernier post sur mes essais d’encres brunes ! Et celui-là porte sur l’adéquation des tons chauds et froids entre lineart et couleurs. Au demeurant, le propos est valable autant en dessin « réel » qu’en illustration « digitale » !

J’enfonce une porte ouverte, en disant que le sépia semble froid et la terre de sienne, chaude – au, reste il en va de même pour beaucoup de teinte d’encres. En toute logique, on devrait donc respecter la tendance d’associer un line chaud avec des teintes chaudes. Démonstration en couleur, sépia à gauche, sienne à droite :

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Je n’ai pas expérimenté l’inverse, ça passerait peut-être bien avec un fond opposé ! Ensuite, les mélanges d’encres sont toujours possibles.

Donc pour le moment, je me cantonne à assaisonner le sépia aux teintes froides et la sienne aux teintes chaudes. Je ne cite pas de noms de couleurs, vous devez déjà bien connaître le toutime, un violet pouvait être froid (plus de bleu) ou chaud (plus de rouge), idem pour un jaune, un vert, un bleu (manganèse ou cobalt)…Bon les orangés, rouges ont quand même choisir leur camp – quoi qu’entre un vermillon et un magenta, même question !

Pour conclure, je vous laisse deviner quel line choisir, entre un jeune homme froid et distant et un bô mec tout chaud devant ! ^^ Si c’est pas des indices, ça !!!

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Il s’agit de zoom sur des dessins d’assez petites tailles, d’où le gros trait de crayon ^^° !

Voili, voulou, en espérant que ça vous donne envie d’essayer ! L’aquarelle a le mérite d’un matériel peu onéreux, en comparaison avec des trames, de l’acrylique ou un ordinateur et une tablette !!! Après, pour le matériel informatique, à voir avec le long terme, hein…

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