Yrial a 10 ans !

Un rappel de renouvellement de 1&1 sur mon espace client qui m’a fait tilter… 2006 – 2016. Cela fait 10 ans ce mois-ci que je tiens ce site de dessin. Toujours avec le même ton, en expérimentant différents sujets.

Donc oui, aujourd’hui Yrial in Sight a 10 ans ! Enfin techniquement, le blog* « Lumière Elfique » a eu 10 ans le 9 mai dernier et le nom de domaine a 10 ans aujourd’hui même. Le site** yrialinsight.com en tant que contenu atteindra vraiment sa dixième année le 12 décembre prochain.

J’apprécie toujours autant ce petit moment d’écriture et de partage, sur un espace dédié ; un rdv informel où présenter ses créations, des méthodes ou des questions ; finalement, c’est un exercice plaisant. En revanche, nos rapports aux sites web ont changé et côté interaction, il faut bien sûr se tourner vers les réseaux sociaux – j’y suis devenue discrète.

Je pourrai tout aussi bien me consacrer à un seul réseau. Mais Internet est mouvant par nature – ce qui fait à la fois son intérêt et son agacement ; et ma confiance, modérée voire très circonspecte en ce qui concerne les comptes facebook & co. Aussi je maintiens ce site et éventuellement je ventile un article.

L’ère de la « tournée des blogs et des topics » a mué, j’y prends part de temps à autre. Et je continue d’alimenter un dinosaure – mon point d’ancrage dans ce maillage ^__^
_______________________________________________

*Blog : au début j’étais sur livespace avec yrialinsight.livespace ; lors de la migration du blog depuis livespace vers yrialinsight.com, je n’ai conservé que quelques articles, dont le 1er est « inspiration », archivé en souvenir !

**Le site a changé d’esthétique et d’ergonomie depuis 2006 ; le décor a toujours été un élément important. La prochaine version laissera beaucoup moins de place à l’ambiance et sera davantage axée contenu. Mais chaque chose en son temps !

Ou laissez-moi un commentaire

Croquis du soir !

Crayonnés – réalisés avec Mischief*, suite au précédent test :

news-2016-05-16-croquis-dragons-1-tire-langue-souffleur

Petits dragons, inspirés de Trine dont j’adore l’univers de jeu !

news-2016-05-16-croquis-dragons-2-amateur-fumee-coeur

Et quelques variantes : souffleur de cœur et aspirateur joueur !

Edit du 20 mai : j’ai combiné « étude de la nature » avec « petit dragon ». Toujours avec Mischief, pour voir. Envie donc de « revenir aux sources », pour cette chimère qui tient du reptile et du mammifère !

• Étude de tête (crâne, yeux, nez, langue) de serpents

news-2016-05-20-croquis-tete-serpent

A gauche, la version mischiefée | à droite, la version photoshopée

– Pas encore très à l’aise avec le petit nouveau ! Encore une tête :

news-2016-05-20-croquis-tete-serpent-autre-tech

Essai d’une nouvelle technique : crayonné** d’abord, on remplit ensuite !

**Ce qui m’a remise dans l’exercice d’observation préconisé dans « Dessiner avec le cerveau droit »

• Étude d’ailes de chauve-souris (membranes) :

news-2016-05-20-croquis-ailes-chauve-souris

Oui ce sont surtout les plis et les attaches des membranes d »ailes qui m’intéressent ici

Et après ces quelques croquis d’écailles de serpent et d’ailes de chauve-souris…Vient une association des deux :

news-2016-05-20-petit-dragon-details

En le dessinant, j’imagine les membranes latérales se plier et se déplier en accordéon lorsque le dragon « pointe » les oreilles »

Bizarrement, on représente souvent le dragon avec une gueule de loup. Non ?

Résultat sur la tête du petit dragon : écailles et membranes détaillées, déplacement de la narine, élargissement de la langue.

Je le trouve moins expressif car les écailles sont fixes ! Or l’intérêt est d’avoir de la mobilité et de la souplesse – sans quoi les expressions postées plus haut deviennent impossibles : l’agrandissement des narines, la contraction de la mâchoire et des lèvres, le plissement des paupières par exemple.

Question : quid des oreilles ?

Bref, on s’apprivoise mutuellement (je parle du logiciel) !

_________________________________________________

*Sauf l’incrustation de texture par dessus, Photoshop toujours ^^

Ou laissez-moi un commentaire

J’ai testé… Mischief !

Rubrique « j’ai testé » : Mischief ! Un logiciel de dessin vectoriel, avec un rendu peinture numérique.

Au passage, merci Zwickee pour la découverte !

J’avoue avoir eu des réticences au début et n’ai vraiment adopté le logiciel que récemment. La dernière mise à jour de janvier était prometteuse. Alors voici mes petits retours. D’emblée, c’est une pure révolution et parallèlement, il ne me convient qu’à demie.

Les atouts de Mischief : innovation, légèreté, simplicité, communauté

Côté logiciel, une superbe innovation :

• Zoom infini dans le dessin sans pixels et sans « pas » (pas d’espace insécable même en zoomant à fond, contrairement à ce que je connais du dessin vectoriel, type Illustrator)

• Les épingles ou « pins » pour se repérer dans le dessin, qui remplacent efficacement l’aperçu – aperçu dont je ne me sers pas ailleurs, je préfère zoomer / dézoomer et me déplacer dans le canevas en permanence

• L’export automatisé des épingles, c’est-à-dire des vues sélectionnées dans le canevas – idéal pour les step-by-step de plusieurs croquis simultanés

news-2016-05-15-mischief-zoom-infini-elfe-au-trefle

Trèfle sur un calque séparé : agrandissement sans pixelisation

Côté dessin :

• L’adoption des « codes » attendus : certains raccourcis communs avec d’autres logiciels, présence du nuancier en carré + cercle, nommage de calques, zoom / dézoom, etc.

• L’export en extension .psd avec calques séparés – un format largement répandu maintenant en 2D (en mode pixel cette fois-ci, pas vecto)

• Le pack de brosses par défaut, déjà excellent – un point auquel je suis particulièrement réceptive

• La facilité de personnalisation des brosses et leurs enregistrement – ce qui est dommage, c’est la limitation à 6 brosses ; l’ajout d’une nouvelle efface forcément une ancienne.

Côté ressources, le poids-plume :

• La légèreté de l’application, son démarrage rapide – on a moins à craindre l’obsolescence du matériel et son manque de puissance

• Le poids miniature des fichiers sources comparés aux mastodontes du marché actuel – même si avec le temps, on a tous boosté nos clés usb et trouvé des espaces serveurs pour le partage de fichiers

• Son interface simple, prise en main rapide : peu d’outils, l’essentiel… Pour croquer*, en tout cas.

Côté communauté et tutoriels :

• La qualité de la newsletter et des informations sur le site

• Le soutien technique avec les mises à jour et la prise en compte des demandes

• Les vidéos sorties peu de temps après le lancement du site et l’ambiance générale

• Le prix** à mon avis bien positionné pour ce type de logiciel : $30 soient 26,80€ TVA incluse

Les points positifs sont légions – et non je ne me livre pas à un placement de produit ^-^ – et honnêtement, trois ans après sa sortie, Mischief continue de détonner. En tout cas, il continue de me surprendre ! En revanche, de ce que j’ai pu tester avec ce logiciel, il ne correspond actuellement pas à ma façon de faire.

Un premier gribouillis coloré :

news-2016-05-11-elfe-brune-mischief-cintiq

Vous allez le voir, je me sers encore de cette bouille d’elfe pour la suite ^^

Les outils qui sont présents mais qui ne me servent que partiellement :

Le côté vectoriel

C’est super appréciable de ne pas être confronté aux pixels, c’est définitivement la grande force de Mischief, avec sa simplicité d’interface. Toutefois, j’y vois deux limites dans sa version actuelle :

Restriction de compatibilité : le dessin est zoomable à l’infini certes, mais non exportable vectoriellement ;

Un mi-chemin bizarre : contrairement à Illustrator par exemple, on ne peut pas modifier une courbe tracée, il faut la repeindre.

Donc finalement, j’utilise Mischief comme n’importe quel logiciel de dessin numérique.

Un deuxième gribouillis coloré – je triche un peu :

news-2016-05-11-elfe-avatar-mischief-cintiq

Même petite tête que pour le précédent visuel. Elfe inspirée de l’exercice « créer son avatar vectoriel » qu’on avait envisagé dans l’équipe Team Graph de Wazabi

L’opacité réglable

Pour palier à l’impossibilité d’avoir plusieurs fenêtres dans Mischief.

En effet, on ne peut ouvrir qu’un seul document à la fois, l’ouverture ou la création d’un nouveau entraînant la fermeture du fichier en cours. On ne peut pas travailler sur deux fenêtres différentes. Or on a parfois / souvent besoin de ressources en parallèle (des images de référence, des sources d’inspiration, des croquis préalables). Mischief contourne le problème en proposant de réduire l’espace de travail et / ou de le passer en transparence, laissant voir le bureau et les fenêtres ouvertes.

Aperçu avec fenêtre semi-ouverte :

news-2016-05-10-mischief-screenshot-window1-open

Aperçu avec fenêtre semi-opaque :

news-2016-05-10-mischief-screenshot-window2-opacity

Néanmoins, on ne peut pas faire de prélèvement pipette sur ces autres documents. De même, on ne peut ouvrir qu’un fichier source .art (pas de jpg, png, etc) ! Et par conséquent, on ne peut pas récupérer un dessin ou calque issus d’un autre fichier mischief.

Les outils qui me manquent pour vraiment me sentir à l’aise* :

1. Côté palette d’outil / sélections

• La sélection « à la main » d’une forme qu’on vient de tracer – pour le moment on peut uniquement sélectionner avec une forme rectangulaire, ce qui implique du gommage

• La transformation de cette même sélection en déformation libre – on peut seulement en faire une symétrie et une homothétie, et la rotation est …Rude

• Le remplissage d’une sélection – ou d’une forme – avec un outil comme le pot de peinture ou un dégradé (à défaut, il suffit de dézoomer à mort et remplir un petit carré par exemple)

• La sélection d’une masse à partir d’un calque (le fameux CTRL + clic sur un calque de référence) histoire de « rester dans les clous » lorsqu’on est sur un autre calque

• La possibilité d’allonger la palette des calques

2. Côté calques et mode de fusion

• La possibilité de grouper ses calques dans un dossier pour la déclinaison de variantes <=> au moins pour séparer les calques des différents croquis sur le canvas et les déplacer conjointement, au lieu de le faire un par un

• Disposer d’autres modes de fusion que le mode « normal » <=> je trouve souvent des dégradés de teintes de cette façon et ça m’aide à poser les valeurs

• La possibilité de verrouiller un calque, à peu près pour les mêmes raisons qu’avec la sélection.

3. Côté nuancier et automatismes

• Personnaliser ses raccourcis clavier <=> j’aime répartir les tâches entre main qui dessine et main sur le clavier

• Importer / exporter des palettes (swatches) avec Mischief

<=> A défaut de pouvoir ouvrir un jpg ou tout autre format et de jouer de la pipette !

Rien que pour ce petit avatar, j’ai dû créer mes couleurs une à une, en récupérant d’abord le code hexadécimal sous Photoshop, puis en le collant sous Mischief. Plutôt rébarbatif. Ceci dit, à part pour du web et du graphisme pur, je me sers peu des nuanciers (excepté avec Illustrator, très rigide le garçon) et habituellement je procède par touche de couleurs puis à la pipette.

news-2016-05-11-elfe-avatar-mischief-finale

version finale avec Mischief – je poste ci-après la version vraiment finale, revue à mon goût en 2/2

*Je ne me vois pas actuellement l’utiliser pour une illustration complète sur un format défini. Comme base, Mischief est extra, mais il me manque les ajouts de textures et les proportions de format ; sauf en décalquant les formats et cases de page au préalable (cf. fenêtre semi-opaque et outil forme).

Évidemment, ces remarques sont basées sur ma propre utilisation. Ce sera certainement différent selon ce que vous recherchez. Ici, j’ai trouvé plus laborieux (pas difficile mais long) de peindre correctement avec Mischief, surtout le fondu de couleurs par exemple. En revanche, les absences de fonctions créent une contrainte intéressante à exploiter pour progresser (en tout cas, je le prends comme ça) et je pense conserver Mischief pour des croquis quotidiens, des recherches en vrac, du rough. En attendant de voir !

_________________________________________________________

Pour aller plus loin et vous faire votre propre opinion :

• le site : « made with Mischief »

• la page facebook Mischief

• un article explicatif d’Helen Zhang

**Le prix a même baissé au moment où j’écris ses lignes, il est actuellement à $25,00.

Ou laissez-moi un commentaire

J’ai testé… Une cintiq (2ème partie) !

Rubrique « j’ai testé » : une cintiq 13HD ! Et suite de la première partie : « Et tique tiq tic, la cintiq !« 

Merci San Lee pour cette acquisition !!!

Ça me change la vie ^__^

Aparté définition :

Les « habitués » connaissent bien la « cintiq » ; pour les autres, il s’agit d’une tablette pour dessiner en numérique, qui permet de dessiner directement sur l’écran, comme sur une toile. La première génération de tablettes était déjà une invention géniale en soi, à la base pour la calligraphie et ensuite pour dessiner. Mais œil et main se trouvaient séparés : la main trace sur la tablette, tandis que le tracé s’affiche à l’écran d’ordinateur. Sincèrement, il m’a fallu prendre le plis. Dans un sens, comme dans l’autre. J’expliquerai pourquoi.

Changer de tablette, pourquoi (pas) ?

1. L’ergonomie du poste de travail

D’abord pour une question de posture. En ce qui me concerne, l’effet a été quasi immédiat pour les douleurs de thorax. Par contre, je ne peux plus dessiner en tailleur ! La position était certes parfaite pour dessiner avec une tablette à plat – pas pour faire de la bureautique ceci dit ; eh bien je ne peux plus, sous peine de blocage de lombaire (arrivé deux fois, j’ai compris maintenant).

2. Voir ce qu’on fait – ou pas

Lors du test avec Evhell, je m’étais doutée que « voir » son encrage au fur et à mesure permettait d’être un peu plus précis et donc plus rapide. C’est effectivement mon cas !

Même s’il m’arrive de repasser l’image sur mon écran d’ordinateur, parce que j’ai pris l’habitude de ne pas voir ma main, justement… Sur la cintiq, elle cache l’écran XD

Un premier test* en couleur, issu de l’expérimentation made with Mischief

…Et d’une palette de couleurs utilisée pour un projet d’avatar :

news-2016-05-11-elfe-brune-mischief-photoshop-cintiq

Bizarrement inspirée par l’expérience tactile de la tablette : j’adore le côté tout doux et presque glissant du revêtement !

J’utilise énormément le clavier pendant que je dessine. Une main sur le stylet, l’autre dédiée aux raccourcis. Ça va tellement plus vite ! Pour le moment, faute de place, je tourne le clavier autour de la tablette et ça me frustre un peu. J’ai bien pensé à paramétrer les boutons latéraux ; mais j’utilise beaucoup de raccourcis, plus que ce que propose la cintiq. Par ailleurs, j’avais déjà paramétré ceux de l’intuos 3 et ne m’en suis presque pas servi.

3. Le sacro-saint calibrage, un argument de poids !

A voir ces dessins-là maintenant, ça fait bizarre : mon écran « de l’époque » (et que j’ai toujours après 9 ans de bons et loyaux services) n’était pas calibré. Ce qui m’a valu de très mauvaises surprises sur les premiers prints >.< La cintiq est a priori bien calibrée de base, donc je ne devrai plus rencontrer de soucis à ce niveau ^__^ Et à première vue, l’éclairage est modéré et le gamma peu élevé, déjà très appréciable pour les yeux. ^o^

En conclusion, que du bonheur, même s’il me reste mes marques à trouver !

_________________________________________________

Tablette testée avec Photoshop, Manga Studio et Mischief.

*Dessin posté : réalisation avec Mischief et finition avec Photoshop. Je parle déjà plus haut du « test Mischief ». Ici, je revisite les couleurs de mon elfe en automne qui m’a servi d’avatar sur les réseaux en 2009.

Ou laissez-moi un commentaire

J’ai testé… Mischief avec une cintiq !

Rubrique « j’ai testé » : Mischief avec une cintiq (13HD) !

Je ne m’attendais pas à retrouver ce logiciel, mais une fois le nez collé sur une surface plus petite que mon écran d’ordinateur… Les palettes de Photoshop et Manga Studio sont soudainement devenues envahissantes sur la 13HD. Pour retrouver un peu d’air, et faire connaissance avec le nouveau matériel, Mischief s’est naturellement présenté comme le prétendant idéal. D’autant qu’avec son zoom infini, sans pixel, gribouiller dessus se révèle franchement confortable !

Un premier rough en noir et blanc :

news-2016-05-10-elfe-au-trefle-mischief-cintiq

Elfe au trèfle, mix entre une coiffe bretonne et un trèfle celtique ~ sorte de knot

Mischief sur un écran 13 pouces, ça change carrément de la version ordinateur : l’espace est « moins vide » tandis que la surface dédiée nuance la présence des bords de la cintiq. Curieusement, l’absence de certains outils (par rapport à d’autres logiciels) se fait moins sentir puisqu’on clique spontanément un peu partout.

Enfin j’en suis pas rendue à me passer de mes raccourcis clavier pour autant ^.~

J’avoue que je me sens au ralenti d’avoir autant changé de choses d’un coup. Heureusement, c’est de l’expérimentation personnelle. Après quelques jours à apprivoiser l’ensemble, je pense poster des tests plus approfondis dudit Mischief et du changement de tablette.

Ou laissez-moi un commentaire

Entrées, plat principal et dessert…

… En base de données. A table !

Histoire de finir la migration de mes mises à jour, je déjeune en tête-à-tête avec ma base de données. Au menu : réinsérer des entrées dans une table, liée à une autre table. En entrée donc ce midi, jouer au jeu des différences entre les deux tables. Laquelle sera la plus ensoleillée, éloignée de la porte de service ?

Plat de résistance : les Id de posts ont changé car certains projets existent en local et pas en ligne. Donc pas de requête en insertion groupée car les relations seraient faussées. Au dessert, on l’espère : que tout soit bien relié au bon article posté, à la bonne date !

La cerise sur le gâteau.

Ou les joies de la gestion de site web ^^° fait maison.

____________________________________________________________

Oui ce menu est accompagné de métaphores filées XD

Ou laissez-moi un commentaire

1er mai, muguet et coccinelle

Trames numériques toujours et une pincée de couleur pour ce 1er mai !

news-2016-05-01-premier-mai-trame-numerique-muguet-coccinelle

Brin de muguet, clochettes et coccinelle, trames numériques

Pour les feuilles du muguet et les clochettes, j’en ai profité pour expérimenter la création de trames… Personnelles, avec une linéature précise cette fois. Bien, c’est rudement pratique ! Les trames conçues de cette façon-là se superposent sans problème. Or à force de brasser différentes sources, on finit par rencontrer quelques complications pour la pose des ombres.

news-2016-05-01-premier-mai-trame-numerique-zoom

Zoom sur ces trames à petits points (sources externes) : différence entre la trame des feuilles, des clochettes et du fond. Les ombres sur les feuilles m’ont finalement amenée à créer des trames identiques pour poser les valeurs.

Alors j’en profite pour faire un peu de pub au fanzine No-Xice ; c’est sur ce tutoriel-ci que je me suis basée : fabriquer ses trames numériques.

Amateur de trames, faites-y un petit tour, ça vaut vraiment le coup. Ne serait-ce que pour tramer vos décors en 2/2 ^o^

Ou laissez-moi un commentaire